La répartition du revenu et son utilisation

Thèmes abordés

Répartition, revenu, utilisation

Résumé du document

Valeur ajoutée : valeur nouvelle crée par une entreprise au cours de son cycle de production et égale à la différence entre la valeur des B et S produits et la valeur des B et S utilisés.

Consommation intermédiaire : valeur des B et S qui sont incorporés à un produit ou détruits lors du processus de production.
Valeur Ajoutée = Prod° – CI
Chiffre d'affaire : prix multiplié par les quantités vendues.
La valeur ajoutée ne mesure pas les bénéfices d'une entreprise
Bénéfices : Recettes – Dépenses

Extraits

[...] De 1983 jusqu'en 1990 il y a un partage vers les investissements, et cela n'a pas évolué depuis. II. La redistribution du revenu Les inégalités se mesurent à partir de tous les revenus, des seuls salaires ou du patrimoine. Pour se faire, on compare les 10% les plus riches aux 10% les plus pauvres. C'est dans les salaires que les inégalités sont les plus élevées. Les inégalités de revenu auraient diminuées tout le 20ème siècle avec les impôts progressifs. Mais depuis les années 1980 les rapports montrent que les inégalités augmentent, la cause étant le patrimoine. [...]

[...] La valeur ajoutée ne mesure pas les bénéfices d'une entreprise Bénéfices : Recettes Dépenses Les salariés, les patrons et l'Etat créent la valeur ajoutée. Marx dit que le patron profite seul de la valeur ajoutée. î versés Dividendes versés î sur les. Epargne brute aux prêteurs aux propriétaires sociétés versés à l'E I Placement Excédent Brut d'Exploitation / VA x 100 = part des profits dans la VA Il faut trouver un partage efficient : verser des salaires qui soient suffisamment élevés pour tirer l'investissement. [...]

[...] La répartition de la richesse engrange des inégalités. Deux logiques de redistribution : ( Logique d'assurance (Bismarck) : redistribution horizontale ( Redistribution des revenus, protection sociale repose sur l'activité salariale, se prévenir contre les grands risques sociaux (chômage, maladie ) ; ( Logique d'assistance (Beveridge) : redistribution verticale ( Ce qui compte c'est le niveau des ressources et non la cotisation. Réduire les inégalités. Aujourd'hui en France on mélange ces deux logiques car il y a peu d'emplois donc peu de cotisation pour se couvrir contre les risques. [...]

[...] ( L'épargne dépend du niveau d'intérêt. Deux questions fondamentales : - épargne est moins à la croissance de l'économie fuite - épargne est essentielle à la croissance de l'économie ressource L'épargne peut être : - défavorable à CT à la croissance de l'économie ; - favorable à LT à la croissance de l'économie. Il faut donc être capable d'avoir une faible épargne à court terme pour ne pas nuire à la croissance de l'économie, mais qui soit suffisamment élevée à long terme pour faire durer la croissance. [...]