Montrer comment le principe de la double division du travail dans le modèle taylorien peut être préjudiciable pour la fiabilité des systèmes socio technique.
D'année en année, les entreprises ont cherché à faire un maximum de profits et de rendements. Jusqu'en 1970 la méthode majoritairement adoptée notamment dans la sidérurgie était Le Taylorisme, basé sur l'Organisation Scientifique du Travail censé procurer la meilleure façon de produire. Mais au fil du temps on a constaté que ces organisations du travail possédaient des failles. C'est pourquoi nous allons dans un premier temps définir se qui caractérise un cadre organisationnel prescriptif puis dans un deuxième temps montrer comment la double division du travail dans le modèle taylorien peut porter préjudice pour la fiabilité des systèmes socio technique.
[...] Alors que les tâches d'exécution sont effectuées par les ouvriers qui construisent le bien conformément aux instructions des ingénieurs. Le principe de double division du modèle Taylorien porte préjudice à la fiabilité des systèmes socio technique, car l'ouvrier à une conduite dictée et ne peut s'adapter à des situations complexes, de plus comme la communication est restreinte il ne peut accumuler les savoir-faire d'autres collègues soit ayant un poste différent qu'il pourrait remplacer ou aider soit de collègues ayant plus d'ancienneté dans ce poste et possédant des savoir-faire et des automatismes utiles. [...]
[...] Un autre problème qui se pose est qu'il n'y a pas de référentiel opératif commun créer en commun avec l'ensemble du personnel, celui-ci aurait permis d'être sur que chaque individu de la chaine de travail ait la même conception du bien final à réaliser et qu'il prenne conscience de l'importance son rôle dans la fabrication ainsi que celui des autres ouvriers. Cela éviterait les fautes du à une sous- estimation de son rôle qui mène parfois à l'oubli, l'oubli d'une tache que l'on ne juge pas nécessaire ou l'oubli de communiquer une information à un autre ouvrier de la chaine. Pour conclure, on peut dire que la surèglementation peut porter préjudice à la qualité du travail. Il est donc nécessaire de laisser une certaine autonomie à l'ouvrier et de préserver la communication au sein des groupes de travail. [...]
[...] Ces règles ont pour but de limiter les actions de l'ouvrier à ce qui est prescrit et donc réduit la dispersion des pratiques. La prise de décision de l'ouvrier devient alors presque nulle, et le travail devient monotone, car il y a automatisation de l'activité. Un référentiel métier est créer et des barrières solides ou virtuelles délimitent les actions possibles et celles interdites ainsi que les modes opératoires que devront pratiquer les ouvriers. Cependant, les procédures ne couvrent pas tous les cas possibles et contiennent des implicites. Le Taylorisme repose sur le travail à la chaine et la double division du travail. [...]
[...] Psychologie et ergonomie: quels sont les éléments qui caractérisent un cadre organisationnel prescriptif ? Montrer comment le principe de la double division du travail dans le modèle Taylorien peut être préjudiciable pour la fiabilité des systèmes socio technique. D'année en année, les entreprises ont cherché à faire un maximum de profits et de rendements. Jusqu'en 1970 la méthode majoritairement adoptée notamment dans la sidérurgie était Le Taylorisme, basé sur l'Organisation Scientifique du Travail censé procurer la meilleure façon de produire. [...]
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