Les principaux courants de la pensée économique, fiche de 13 pages en économie.
Comme chez Marx, le début de l'analyse Keynésienne c'est une critique du libéralisme alors qu'il n'était pas du tous pour la socialisation des moyens de production, il est partisans d'une économie de marché régulée, il est contre le laissé faire intégrale donc il ne pense que l'autorégulation des marchés permet de retrouver des situations d'équilibre ou alors ce sera des politiques de sous-emplois: il est partisans de la main visible de l'Etat ( politique budgétaire, politique monétaire). Keynes a fait mentir Marx.
I ? Le mercantilisme
II ? Le courant libéral
III ? Le courant marxiste
IV ? Le courant Keynésien
[...] On doit les fonctions d'offre et de demande ; on leur doit donc la détermination du prix par tâtonnement. (Notion de commissaire priseur (Léon Walras)). Les traits de l'économie néoclassique : - L'économie est considérée comme une science dure : on pense qu'on peut attendre un optimum social rationnellement. Il y a cette foi dans l'économie, pour réduire les problèmes de pauvreté. dans le progrès et dans la science ; Il faut remettre tout ça dans le contexte culturel d'une époque. L'école néoclassique a une approche microéconomique de l'économie. On parle de préférence, d'utilité. [...]
[...] On est dans une économie descriptive. - Puisqu'il existe des lois naturelles, puisqu'il faut les respecter, s'y soumettre, il ne doit pas y avoir d'intervention de l'Etat, qui risqueraient de perturber. Toute intervention est considérées par avance comme néfaste. Le système apparait naturellement équilibré. Rejet de l'interventionniste mercantiliste. D'un point de vue politique, ils souhaitent une monarchie. Ce libéralisme est économique et pas politique. Pour les physiocrates, l'économie est dominée par l'agriculture : elle est la seule créatrice de richesse. [...]
[...] Keynes propose d'injecter des liquidité dans l'économie pour baisser les taux d'intérêt (baromètre) qui est pour Keynes le prix du futur Les néo-keynésiens En 1960, Nixon dit nous sommes tous keynésien ».Keynes raisonnait en économie fermée alors que les néo-keynésien raisonne en économie ouverte, plus un système est ouvert plus il est complexe. Les néo-keynésiens essaient de transposer la théorie économique de Keynes dans une économie de plus en plus interdépendante et mondialisé à partir des années 80. En 1982, on assiste à une forte détérioration de la balance commerciale en dépassant 100 milliards de franc de déficit commercial. [...]
[...] Quelles sont les principales contradictions du capitalisme selon Marx ? - La baisse tendancielle du taux de profit - Les crises de surproduction - La paupérisation de la classe ouvrière : appauvrissement - Aliénation L'extorsion de la plus-value Le terme de plus-value n'est pas celui que l'on connait aujourd'hui (une plus value financière est la différence entre prix de vente et prix d'achat) : La plus value est une fraction du travail qui n'est pas rémunérée. Pour Marx la Bourgeoisie s'approprie une partie de la valeur du travail sous forme de plus value, et celle ci va permettre l'accumulation du capital. [...]
[...] - forte présence de l'Etat. - l'accumulation d'excédent en dollars : la chine devient le coffre fort du monde" - l'espionnage et le non respect des droits de propriétés : lorsque l'on produit quelque chose, on dépose un brevet et cela assure un droit exclusif de propriété. En ce début de siècle, il ne faut pas croire que les thèse mercantiliste font parties du passé. Aujourd'hui encore, on peut trouver des formes nouvelles de mercantilisme. Les libéraux ont beaucoup critiqué le mercantilisme, ils ont traité le mercantilisme avec mépris. [...]
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