Les nouvelles formes d'organisation du travail qui sont apparues dans les années 1980 avec le Toyotisme connaissent un grand succès au Japon et sont reprises par les Européens. En effet, elles ont pour but d'améliorer la croissance économique en obtenant des coûts de production plus avantageux qu'auparavant. Pour arriver à cela, les nouvelles formes d'organisation du travail optent pour une cadence de travail plus rapide et efficace avec par exemple l'élimination des temps morts des salariés et visent à la qualité de la production (...)
[...] Ces nouvelles formes d'organisation tendent à favoriser la croissance économique au dépend du niveau de vie des salariés ce qui ne donne pas vraiment une bonne image. Nous pouvons alors nous demander si une augmentation du nombre de salariés ne pourrait pas être bénéfique en ce qui concerne le niveau de vie de ces derniers, tout en favorisant la croissance économique ? [...]
[...] D'autre part, cela permet aux entreprises de diminuer les coûts ce qui ne peut être que bénéfique pour la croissance économique. En effet, les ménages sont poussés à acheter car les produits reste de qualités et sont a un prix accessible et répondent à la demande très rapidement et efficacement. La croissance économique est alors favorisée. Par ailleurs, les nouvelles formes d'organisation du travail ont recours au travail intérimaire qui semble être un moyen pratique dans le but de n'a pas perdre de bénéfices. [...]
[...] Cette augmentation d'embauche à court terme peut bénéficier aux entreprises ainsi qu'à la croissance économique, cependant nous pouvons constater qu'à long terme le produit intérieur brut ne va pas à la hausse ce qui peut se traduire par un impact défavorable pour la croissance économique. Cet impact défavorable peut s'expliquer par le fait qu'une personne possédant un emploi atypique tel qu'un contrat à durée déterminée consommera en moyenne moins qu'une personne ayant un emploi à durée indéterminée ce qui tendra à une baisse de la demande et donc une baisse de la croissance économique. Nous avons donc vu que les nouvelles formes d'organisation du travail peuvent être autant favorable que défavorable selon la façon dont elles sont mises en œuvre pour la croissance économique. [...]
[...] Les nouvelles formes d'organisation du travail favorisent-elles la croissance économique ? Les nouvelles formes d'organisation du travail qui sont apparues dans les années 1980 avec le Toyotisme connaissent un grand succès au Japon et sont reprises par les Européens. En effet, elles ont pour but d'améliorer la croissance économique en obtenant des coûts de production plus avantageux qu'auparavant. Pour arriver à cela, les nouvelles formes d'organisation du travail optent pour une cadence de travail plus rapide et efficace avec par exemple l'élimination des temps morts des salariés et visent à la qualité de la production. [...]
[...] Après avoir évoqué le fait que les nouvelles formes d'organisation du travail aient la possibilité de favoriser la croissance économique, nous allons voir qu'elles peuvent aussi avoir des effets néfastes pour cette dernière. En effet, dans un premier temps, nous aborderons le fait qu'avec les nouvelles formes d'organisation du travail, le mode de vie des salariés peut devenir éreintant. Puis dans un second temps, nous étudierons le fait qu'à long terme, la croissance économique n'est pas favorisée par l'embauche d'emplois atypiques. [...]
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