Elasticité, quantité, prix, courte période, longue période, marché pétrolier
Il y a deux questions qui se posent: la première est que se passe-t-il lorsqu'on introduit le temps, la durée donc lorsqu'on n'est plus en courte période ? Sur une courbe, la demande baisse quand le prix monte, la quantité diminue mais on n'a pas dit dans quelle proportion ? C'est la question dite de l'élasticité.
La longue période : les hypothèses restrictives sont levées ce qui signifie que les préférences, les goûts peuvent changer dans le temps, le revenu peut se modifier, augmenter ou diminuer. Or ces deux évolutions vont modifier la demande.
[...] Dans les produits objectivement indispensable certains médicament par exemple on ne discute pas du prix et des produits dont on n'arrive pas à se passer. Mais il y a dans les produit à demande inélastique qui sont des biens complémentaires c'est-à- dire des biens dont l'usage va avec celui d'un autre et dans lequel la demande n'est qu'une demande dérivée par rapport au bien principal par exemple l'essence par rapport à l'automobile, de même l'électricité. Deuxième situation, la demande élastique : dans ce cas l'élasticité est comprise entre –l'infini et et cela signifie que la variation de quantité demandée est supérieure à celle des prix, il s'agit essentiellement de produit jugé peu indispensable (subjectif), il s'agit surtout des produits qui ont des substituts étroits. [...]
[...] Ce qui se traduit par une remonté des prix pétroliers. Plus le prix s'élève, plus les effets jouent sa stimule la recherche pétrolière et sa stimule les énergies alternatives. Ce qui fait qui s'est produit un sorte de jeu permanent de va et vient que si l'OPEP voulait faire monter le prix cela veut dire moins en vendre. Le phénomène conjoncturel c'est la demande pétrolière, dès qu'il ya récession c'est ce qu'on appel désormais la grande récession donc la production mondial s'effondre et la demande s'effondre avec. [...]
[...] Sur une courbe demande quand le prix monte, la quantité diminue mais on n'a pas dit dans quelle proportion ? C'est la question dite de l'élasticité. La longue période : Les hypothèses restrictives sont levées ce qui signifie que les préférences, les gouts peuvent changer dans le temps, le revenu peut se modifier augmenter ou diminuer. Or ces deux évolutions vont modifier la demande. On se situe dans l'hypothèse d'un accroissement du revenu. En courte période la courbe de demande plus le prix monte, plus la quantité diminue. [...]
[...] La question du pétrole et du marché pétrolier Si l'on se situe dans les années 50 -60 le marché pétrolier est un marché assez largement concurrentiel et la demande est encore relativement élastique parce qu'il existe des substituts traditionnels (charbon) et tout l'appareil domestique n'est pas encore tourner vers le monopole du pétrole. Les prix du pétrole sont restés bas. On se situe au début des années 70 a prix moyen 3 dollar le baril, or au début de ces années il s'est passé deux phénomène, le faible prix du pétrole a peu à peu concentré son monopole à cause du faible prix. [...]
[...] On parle de variation de la quantité demandée, c'est une réaction instantanée. Dans le second cas, on a introduit le temps donc la possibilité pour le revenu de changer et donc si le revenu augmente on parle cette fois de l'augmentation de la demande ce qui veut dire que c'est toute la courbe de demande qui s'est déplacé sous l'effet d'une autre variable qui est le revenu. De manière plus précise on parle dans ce cas d'élasticité de la quantité demandée par rapport au prix et donc elle exprime la variabilité de la quantité demandée lorsque le prix change. [...]
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