croissance, entreprise, production, PIB, économie
Lorsqu'on parle de moteur de la croissance, on suppose implicitement que le PIB (production en VA) des différents secteurs économiques résulte d'une adaptation à la demande. On suppose implicitement qu'il n'y a pas eu de contrainte d'offre (sinon la demande peut ne pas être satisfaite en cas de contrainte d'offre). Les capacités de production sont de toute façon supérieure à la demande, et c'est le montant de la demande qui va justifier l'utilisation des capacité de production. Selon les années le PIB porte la marque essentiellement de la demande interne ou essentiellement de la demande externe.
[...] Le patrimoine des individus leur apporte des revenu revenu courant. Les ménages prévoient un revenu moyen et en fonction de ce revenu moyen, les ménages vont ajuster leur consommation. Lorsque le revenu courant est supérieur au revenu moyen, la consommation peut augmenter, mais beaucoup moins fortement que ne le supposait la théorie keynésienne. Lorsque le revenu courant est plus faible que le revenu moyen, les ménages puiseront dans leur épargne, et la consommation peut diminuer mais beaucoup moins fortement que le prévoyait la théorie keynésienne. [...]
[...] C'est pour cette raison que les investissements sont un facteur explicatif fondamental de la croissance. Ce sont les composantes qui sont à l'origine des cycles économiques. Pour cette raison nous allons les étudier dans le chapitre sur les crises économiques. La FBCF répond à deux motifs fondamentaux : La demande : Il y a la demande prévue dans l'avenir qui conditionne les investissements (multiplicateur. Mais il y a aussi un autre mécanisme qui lie les investissements à la demande de la période (accélérateur). On investie sous la pression de la demande qui se manifeste. [...]
[...] On suppose implicitement qu'il n'y a pas eu de contrainte d'offre (sinon la demande peut ne pas être satisfaite en cas de contrainte d'offre). Les capacités de production sont de toute façon supérieure à la demande, et c'est le montant de la demande qui va justifier l'utilisation des capacité de production. Selon les années le PIB porte la marque essentiellement de la demande interne ou essentiellement de la demande externe. Le partage et l'influence que la demande interne et externe dépendant de différentiel de conjoncture. Plus les économies sont en phase, plus la croissance est instable. [...]
[...] Les populations jeunes sont des populations qui empruntent pour consommer. Ceci va expliquer des déséquilibres financiers entre régions du monde. Notamment des déséquilibres entre des populations plus jeunes comme les USA et des populations plus vieilles comme le Japon Au niveau de l'INSEE on va s'intéresser à d'autres variables qui peuvent influencer la variation des ménages. ~ Le taux d'intérêt a évidemment une influence sur choix des ménages entre consommer et épargner. Mais l'effet final est incertain, et se partage entre l'effet revenu (quand le taux d'intérêt est élevé, on a intérêt à épargner, parce qu'on va recevoir plus de revenu) et l'effet de substitution (si on considère que les ménages n'ont pas pour objectif de maximiser leur épargne, mais de constituer un certain montant d'épargne. [...]
[...] Le partage du marché interne et des marchés extérieurs est la aussi beaucoup plus incertain qu'il y a 20 ou 30 ans, parce que nous sommes au niveau mondial en taux de change flexible. Par contre, grâce à l'euro, on a réussi à éliminer, de la compétition entre pays européen, l'élément taux de change. La concurrence ne se fait donc que sur les coûts de production et sur les marges, qui sont des éléments beaucoup plus liés à l'efficacité des entreprises. Ces effets dépendent aussi de la sensibilité des agents au prix. [...]
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