Malthus a-t-il eu raison ?

Thèmes abordés

Malthus, révolution industrielle, capitalisme, main d'oeuvre bon marché, transition démographique

Résumé du document

Thomas Malthus économiste anglais s'est penché de manière extrêmement pessimiste sur la question de la population et de la production Essai sur les principes de la population « les subsistances croissent en progression arithmétique, tandis que les populations croissent en population géométrique »

Pour Malthus, la survie était donc impossible si la population augmentait trop rapidement, il s'est donc penché sur le problème et a établi des théories régissant les faits de l'époque.

Extraits

[...] Mais au XIX me siècle, l'industrie et l'automobile sont arrivées. Il n'y avait qu'un milliard d'hommes sur la terre donc ces technologies ne posaient pas trop de problèmes.
→ Mais la croissance de la population, les guerres, l'expansion de l'industrie et de l'automobile, l'invention de la télévision et des ordinateurs, l'accroissement des parcelles transgéniques, le gaspillage d'énergie ont fortement perturbé les écosystèmes et les ressources naturelles. Résultat final:
Des ressources épuisées (pétrole, charbon accroissement des gaz à effet de serre donc augmentation de la température, déchets nucléaires très toxiques, évènements climatiques plus violents (sécheresse de plus en plus intense au Sahel, cyclones de plus en plus violents en Floride Alors le problème de la population et la théorie Malthusienne sont en quelque sorte remis à jour car la Chine et L'Inde géant démographique cherche à atteindre le niveau de vie des pays occidentaux mais cela engendrerait des catastrophes écologiques et sans doute une nouvelle menace pour l'espèce humaine. [...]

[...] Il prétendait que le niveau des naissances augmenterait si les pauvres avaient suffisamment de quoi se nourrir. Ce niveau en fait, chuté le plus rapidement et le plus profondément dans les pays riches Phase de diminution de la natalité quand la population d'un pays s'enrichit Selon Gary Becker: la hausse du coût de l'enfant liée à l'éducation conduit les parents à réduire là le nombre d'enfants pour privilégier le soin de celui-ci. mettent donc en avant la qualité plutôt que la quantité baisse du nombre de la naissance Meilleur éducation Plus De progrès technique Plus de productivité Meilleur niveau de vie l'amélioration de l'hygiène et des soins a fait chuter la mortalité (mortalité infantile notamment), en générant une explosion de la population.
 De nos jours la population est bien supérieure à ce qu'elle était à l'époque de Malthus ainsi que le niveau de salaire Relation entre le revenu par tête et le revenu Haut revenu / faible reproduction III- Mais ses théories réapparaissent depuis quelques années L'homme a géré les ressources sans les épuiser pendant des siècles. [...]

[...] Grâce à de nouvelles ressources / de nouvelles technologies / progrès techniques l'explosion démographique mondiale, contrairement à ce que redoutait Malthus, n'a pas été limitée par les ressources agricoles. une main d'œuvre bon marché a l'industrie Karl Marx s'oppose aux théories Malthusienne Pour Marx cet excès de population est un excèdent des besoins du capitalisme : l'armée de réserve industrielle faut cependant tenir compte de la courbe de Laffer (courbe de Laffer : rapport entre revenu et taxe), Gilde qui craignent que les aides sociales et la redistribution n'encourage l'oisiveté (encore de vigueur de nos jours) la transition démographique contredit directement Malthus. [...]

[...] CONCLUSION
 Notre planète admet donc certainement un maximum de population mais non pas comme le pensait Malthus d'un point de vue de la population mais je dirais plutôt d'un point de vue écologiste. En effet qu'il y aura un besoin de 5 planète pour subvenir aux besoins des hommes si tous vivait sur le modèle de l'Américain moyen. La politique de l'enfant unique en Chine et en Inde sont alors peut être les solutions de demain au problème de l'écologie . [...]

[...] Introduction : Thomas Malthus économiste anglais s'est penché de manière extrêmement pessimiste sur la question de la population et de la production Essai sur les principes de la population les subsistances croissent en progression arithmétique, tandis que les populations croissent en population géométrique Pour Malthus, la survie était donc impossible si la population augmentait trop rapidement, il s'est donc penché sur le problème et a établi des théories régissant les faits de l'époque Malthus a-t-il eu raison ? Dans un premier temps nous verrons que la théorie malthusienne était applicable mais que la révolution industrielle a changé la donne et enfin que le problème écologique de nos jours nous renvoie à la pensé de Malthus I - Malthus avait raison jusqu'à la mise en place de la révolution industrielle et du capitalisme Le taux de croissance économique ou vivrier de la population est commandé que sur ses propres ressources Qu'en fonction de ses disponibilités vivrières Donc dans ce type de société la population ne peut excéder la production vivrière la population se renouvelle donc en fonction de ses disponibilités type de société empirique (baisse des ressources agricole, baisse de la population) Il n'y a pas de surplus de production, la population augmente jusqu'à ce que la plupart de la population soit à la limite de la famine Si la production de nourriture augmente au-dessus du minimum nécessaire, les pauvres auront plus de bébés et leurs enfants vivront plus longtemps de telle sorte que la population augmentera à nouveau jusqu'à ce qu'une nouvelle limite de la subsistance soit atteinte David Ricardo/ Malthus théorie des rendements décroissant les rendements diminue en fonction du nombre, si la population est trop nombreuse il n y a plus assez de ressources pour subvenir aux besoins Il est en quelque sorte un précurseur de la thèse de la sélection naturelle car d'après lui le pauvre n'aurait donc pas sa place dans la société Il voyait à travers les grandes catastrophes comme la peste noire de 1350 du contrebalancement permettant l'équilibre et l'élimination des plus faibles afin d'éliminer les pauvres . [...]