macroéconomie, avant Quesnay, après Quesnay, économiste, circuit pré-capitaliste
C'est un contexte lié aux épidémies et les guerres. L'Eglise a un rôle très important. L'expansion économique justifie la pauvreté et l'ordre.
Recherche d'un modèle économique pour financer les guerres (efficacité).
Différente conception économique au sein de l'Eglise entre catholiques/protestants…
3 questions se posent : richesse ? Ouverture pays ? Monnaie ?
St Thomas Daquin pose des questions économiques pour la première fois notamment la propriété (pas de sens, collective).
[...] N Oresme dans Traité des monnaies (1355), premier auteur à parler de la monnaie : - préserver la valeur de la monnaie (donc pas inflation) - assurer stabilité des prix sinon désordre économique. - Autorité monétaire indépendante du roi car c'était un moyen pour le roi d'effacer ses dettes. - Si hausse masse monétaire alors dépréciation monétaire (inflation) d'où clivage augmente entre pauvre et riche. Question économique chez les mercantilistes. C un courant qui favorise les exportations au profit des importations : vision Machiavel (tout ce qui est bon pour le prince est bon pour le peuple) Les économistes sont ceux qui explique l'économie qualitativement et aide le prince dans ses choix. [...]
[...] Produit brut = avance intérêts CCF. Les avances sont de 3 sortes : - foncières : terres mis à disposition des fermiers par les propriétaires fonciers. - Primitives : achats par les fermiers sur le produit brut de l'année précédente pour satisfaire l'autoconsommation de l'année courante. - Annuelle : dépense à l'intérieur de la classe des fermiers. F A P 1 : autoconsommation = 2 unités 2 : avance primitive : CCF de F à P = : achat matières premières de A à F pour la fabrication de matériels de remplacement = : Produit net de F à P versé en contrepartie des avances financières (fermage) = : achats de produit alimentaire de P à : achats de biens produits pour la consommation (alimentaires) de A à F = : achats de produits manufacturés de P à A = 1 PB= 5. [...]
[...] L'expansion économique justifie la pauvreté et l'ordre. Recherche d'un modèle économique pour financer les guerres (efficacité). Différente conception économique au sein de l'Eglise entre catholique/protestant 3 questions se posent : richesse ? Ouverture pays ? Monnaie ? St Thomas Daquin pose des questions économiques pour la première fois notamment la propriété (pas de sens, collective). Luther pose une vision différente, la propriété ne doit pas être accaparé par le prince. Objectif Eglise : combattre les infidèles (guerre sainte) qui entraîne la découverte de pays donc nouveau marché ; source financement pour la guerre ; question logistique pour de nouvelle méthode. [...]
[...] La fonction est de rémunéré l'autorité et dépend du risque. Richesse nécessaire car permet de réhabiliter les marchands comme étant la catégorie essentielle de la population car c'est eux qui produisent la richesse. XVIè siècles : richesse + ou - : 1er débat en France entre Baudin (la politique d'importation enrichie les banques mais pas la prince, c'est une fausse prospérité donc mauvaise politique) et Malestroit (banquier : pour lui, les banques peuvent financer le crédit et l'investissement car la monnaie est gagé par des tonnes d'or en réserve d'où création monnaie) conclusion : depuis des siècles il y a de l'or qui arrive en Europe ; envolé des prix entraîne une dépréciation monétaire. [...]
[...] Macroéconomie : Quesnay. Avant Quesnay. Question économique dès l'époque antique avec Socrate, Platon et Aristote questions fondamentale : valeur ? Richesse + ou pour la société (question philosophique). Organisation : nourrir la cité, gouverner, informer, sécurité militaire et alimentaire Question philosophique liée au contexte religieux. Définition de la richesse courants de pensée : penseur (SPA) avec des idées économiques. Par exemple, pour Aristote, la monnaie a trois fonctions (spéculation càd la chrématistique, précaution, transaction pour faciliter les échanges). Sophiste (commerçant) : pas intervention de l'Etat. [...]
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