De nos jours, en France, la population doit faire face à une réalité : les inégalités. En effet, celles-ci sont fortement présentes dans notre société et ce dans tous les domaines de la vie courante. Certains auteurs, comme Kuznets, pensaient que les inégalités se développaient durant la phase industrielle et que celles-ci diminuaient ou disparaissaient lorsque le pays atteignait un niveau de développement assez important. Or, cette thèse a été faussée dans les années 50, car les inégalités sont toujours présentes, et certaines ont tendance à se développer. Les inégalités les plus frappantes sont, cependant, les inégalités économiques (...)
[...] Les enfants qui connaissent le plus d'échecs scolaires sont ceux issus des catégories sociales les moins riches. Plus le niveau de scolarité est élevé et plus l'écart du taux d'échec, entre les enfants des catégories sociales les plus défavorisées et ceux issus des catégories sociales les plus riches, est important. Cet écart est également dû aux conditions de vie : si les conditions de vie sont bonnes, alors il y a de grandes chances pour qu'il y ait réussite scolaire ; et inversement. [...]
[...] Du fait des écarts de richesses, toutes les catgories sociales n'ont pas accès aux nouvelles technologies (téléphone portable dernier cri, GPS, écran plat Seuls les plus aisés ont accès à ces consommations ostentatoires. Autre exemple, la population carcérale concerne en majorité des personnes issues de milieux défavorisés. Par ailleurs, les différences de revenus traduisent également des inégalités de conditions. En effet, il existe des différences de logements : les plus défavorisés vivent souvent dans des HLM, alors que les plus riches sont très souvent propriétaires de maisons. [...]
[...] De nos jours, en France, la population doit faire face à une réalité : les inégalités. En effet, celles-ci sont fortement présentes dans notre société et ce dans tous les domaines de la vie courante. Certains auteurs, comme Kuznets, pensaient que les inégalités se développaient durant la phase industrielle et que celles-ci diminuaient ou disparaissaient lorsque le pays atteignait un niveau de développement assez important. Or, cette thèse a été faussée dans les années 50, car les inégalités sont toujours présentes, et certaines ont tendance à se développer. [...]
[...] Ces écarts de revenus vont avoir des conséquences sur le revenu du patrimoine. En effet, en France, celui-ci s'est étendu à de nouvelles catégories sociales mais ce revenu progresse plus vite que les autres. Ainsi, ce sont ceux qui perçoivent les plus hauts revenus qui peuvent s'offrir le luxe d'épargner car la propension à consommer est plus facile. L'épargne qui rapporte le plus sont les actions ou plutôt les dividendes qui en découlent, or, seuls les plus riches orientent leur revenu vers ce type d'épargne. [...]
[...] De plus, le chômage est récurrent d'où un revenu en baisse. Par ailleurs, les inégalités économiques sont aussi des écarts de revenus et de patrimoine. En effet, le revenu dépend de l'emploi que l'on occupe et des qualifications que l'on possède. Les emplois les moins qualifiés (ouvriers, employés ) sont très souvent les moins payés ; à l'inverse, le niveau de revenu s'accroit avec le niveau de qualification (cadres, professions libérales Le niveau de vie des ménages français n'a cessé d'augmenter en 30ans, selon une enquête INSEE de 2002. [...]
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