De nos jours, la course à la croissance économique est primordiale pour chaque pays de la planète. Chaque pays veut augmenter d'une année à l'autre son PIB, symbole de la richesse d'un pays. Il existe différents moyens pour accroître celui-ci.
Parmi eux, l'organisation efficiente de l'entreprise pour par exemple produire plus vite. On le sait bien, s'organiser, même dans la vie de tous les jours nous permet de gagner du temps. Pour une entreprise c'est le même principe, pour être plus productive elle va organiser sa production au mieux (« one best way » en anglais) (...)
[...] Les consommateurs vont se remettre à acheter, les entreprises a produire et la croissance a augmenter. Les organisations du travail s'adaptent donc à leur environnement économique et c'est ce qui entraine une modification des organisations du travail. D'autres parts, il y a un facteur social à prendre en compte : les ouvriers. En effet, ceux-ci ont subi les organisations du travail, cela a affecté leurs conditions de vie. Ainsi , le fordisme a instauré une monotonie du travail, un travail à la chaîne harassant. Les ouvriers étaient perçus comme du capital fixe. [...]
[...] A la fin de ces 30 glorieuses, apparait une nouvelle forme d'organisation de travail (NFOT), le toyotisme. Elle est née au Japon dans les usines de la marque Toyota, inventée par Ohno . Cette organisation marque une rupture avec les anciennes formes d'organisation. Tout d'abord, l'une des caractéristiques principales est la recherche permanente de qualité. En effet, Ohno a pensé que la qualité est la clef de la relance de la demande. Pour ce faire, plusieurs choses sont mises en place. [...]
[...] Les ouvriers devront confectionner, contrôler, réparer, suivre la production. Les ouvriers doivent être plus polyvalents. Pour Ohno il faut user tous les facteurs de production au maximum y compris le travail. La qualité est aussi présente grâce au principe des 5 zéros dont 2 concernent la panne et les défauts, ceux-ci doivent être inexistants. Ce souci de qualité est lié à la volonté de Ohno de s'adapter à la demande, celle-ci de plus en plus volatile. Cela demande une grande flexibilité des machines et des ouvriers. [...]
[...] Il tenta d'impliquer plus ses ouvriers dans le processus de production, de rendre moins monotone les tâches à effectué et d'améliorer les conditions de travail en général. Les organisations doivent donc s'adapter au contexte économique et social de l'époque. Cela implique une évolution, un changement de mode de production. Entre 1960 et nos jours, dans les pays développé, se sont succédés le fordisme et le toyotisme. Le Toyotisme améliora le Fordisme. Les changements furent nécessaires étant donné la conjoncture économique et sociale de l'époque. Mais aujourd'hui le Toyotisme a ses limites notamment au niveau de l'écologie qui devrait être de plus en plus pris en compte. [...]
[...] On appelle cela l'organisation du travail. Durant le XXème siècle, plusieurs organisations du travail se succédèrent et cela lié aux limites de chacune d'entres elles, et à leur contre productivité. Nous verrons en détails dans un premier temps les caractéristiques de ces organisations de 1960 à nos jours et dans un deuxième temps les facteurs explicatifs liés à ces évolutions. Entre 1960 et nos jours, deux organisations se succédèrent. Le fordisme fut le premier. Celui-ci a été inventé par Henri FORD. [...]
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