Histoire, faits économiques, travail, organisation, production
Avec le développement du machinisme, nous pouvons observer qu'une force musculaire importante n'est pas requise de la part du travailleur, et que la souplesse des membres est un avantage. Ce profil étant adapté aux femmes et aux enfants, le machinisme s'approprie cette force de travail supplémentaire à celle des ouvriers. En même temps, la valeur de la force de travail est dépréciée du fait de sa distribution sur l'ouvrier et les membres de sa famille. Synthétiquement, le machinisme a élevé le degré d'exploitation. Pourtant, l'achat de mineurs par le capital brise le contrat fait à l'ouvrier qui, en plus de vendre librement sa force de travail, doit maintenant aussi vendre celle de sa femme et de ses enfants.
[...] Celles-ci passèèrent toujours par les circuits de commercialisation existant dans les annéées 50, puisqu''ils satisfont bien aux besoins. Aussi, les petites et moyennes entreprises adoptent une stratéégie de difféérenciation qui a induit par la suite le dééveloppement de grandes entreprises intéégréées. Plus géénééralement, on retrouve aussi comme en France, les formes d''entreprises àà concentration horizontale, le cartel, le trust, les holdings, les grandes fusions, les divisons fonctionnelles et les structures multidivisionnaires et managéériales ( exemple : Du Pont de Nemours). [...]
[...] Préénom NOM L1_MASS Histoire des faits ééconomiques: Dossier Le travail et l''organisation de la production Q quelles sont les consééquences du dééveloppement du machinisme pour les travailleurs ? Avec le dééveloppement du machinisme, nous pouvons observer qu''une force musculaire importante n''est pas requise de la part du travailleur, et que la souplesse des membres est un avantage. Ce profil éétant adaptéé aux femmes et aux enfants, le machinisme s''approprie cette force de travail suppléémentaire àà celle des ouvriers. En mêême temps, la valeur de la force de travail est dééprééciéée du fait de sa distribution sur l''ouvrier et les membres de sa famille. [...]
[...] En effet, le danger permanant des sociéétéés anonymes est la perte de la majoritéé aprèès des transactions importantes sur les actions. Cependant, nous observons d''aprèès le tableau 10 page 72 que le chiffre d''affaire des SARL est inféérieur àà celui des sociéétéés anonymes contre 62,4%). On séépare aussi la forme de ces entreprises par leur taille. Les petites et moyennes entreprises, géénééralement de moins de 100 ouvriers ont pour avantage la qualitéé de leur travail, la pluriactivitéé entre les travaux agricoles saisonniers et le complééments de la petite industrie, et la volontéé des hommes de garder un mode de vie rural. [...]
[...] Les entreprises peuvent aussi crééer des ententes, notamment entre les offres. Par exemple, en sidéérurgie, on créée des cartels sur les prix ou les quantitéés. Par ailleurs, l''entreprise prééserve plus ou moins son indéépendance selon si elle s''autofinance, si elle se fait prêêter àà long terme sous forme d''avance àà déécouvert par les banques, si elle se fait prêêter par un groupe de banque avec un chef de file (ce sont des pool de bancaires pour des besoins importants) ou si elles font appellent aux actionnaires. [...]
[...] Plus prééciséément, des cadres moyens supervisent les unitéés de production et de distribution. Et les cadres supéérieurs, en plus de coordonner le travail des cadres moyens, assurent la tââche de réépartition des ressources pour la production et la distribution. L''importance des managers est telle que sans eux, l''entreprise n''est plus qu''une féédéération de bureaux autonome qui en application n''arrive pas àà faire baisser les coups par l''accroissement de productivitéé. D''autre part, la hiéérarchie des managers est devenue une source de permanence, de pouvoir et de croissance continuelle en soit de l''entreprise. [...]
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