Si le 19e siècle est long, le 20e est court (1914-1989 : chute du mur ). En 1914 c'est le début de la guerre et aussi le début d'un tournant de l'histoire. Au 20e siècle il y a eu 2 guerres et 1 crise économique mondiale. Début de la notion d'inflation, c'est un siècle novateur qui se divise en 2 phases : la guerre et la prospérité.
L'essor économique s'accélère : c'est l'euphorie économique, de 1895 à 1914 c'est aussi l'apogée du capitalisme libéral. C'est la résultante du 19e siècle. Au cours de ce siècle on a découvert le chemin de fer, les transports maritimes, découverte dans le domaine de l'automobile et de l'aviation. Il y a donc une révolution au niveau financier et technique, c'est le siècle de l'Europe. Il y a une forte poussée démographique causée surtout par l'immigration. La salarisation est la conséquence de la RI (en Angleterre 80% de la population est salariées, 66% en Allemagne et 58% en France ), cela est dû au fort taux d'ouvrier. On a une perfectionnalisation de l'outillage et une apparition du rendement qui est au cœur de l'économie. Le charbon se voit concurrencer par d'autres matières source d'énergie comme l'électricité et le pétrole par exemple. Les grandes entreprises vont augmenter leur production (sidérurgie, textile…). Développement des industries chimiques, automobile ; utilisation courante de l'aluminium et de la soie artificielle, apparition du caoutchouc avec les pneus (Good Year, Dunlop, Michelin…). Il y a une interdépendance entre les différents secteurs. Il y a une accélération des transports ( 1890 : 600000 km de voies ferrées et en 1913 : 1300000 km )
[...] (la mauvaise monnaie chasse la bonne.). On finit par retirer le pouvoir libératoire et la frappe libre à l'argent sauf pour la pièce de 5F (bimétallisme boiteux), et on lui enlèvera en 1876 (monométallisme). La contrainte est la production mondiale d'or et d'argent, il y a un coût d'extraction ce qui augmente le coût de la monnaie. L'expansion de la masse monétaire : monnaie fiduciaire (qui tire sa valeur dans la confiance qu'on lui accorde), avec des billets convertibles et la monnaie scripturale (chèques, virement) Le commerce extérieur : En Allemagne, la banque centrale est différente de celle de la France ou d'Angleterre qui sont très prudentes. [...]
[...] Histoire économique: Les grandes tendances économiques du 20e siècle Introduction Si le 19e siècle est long, le 20e est court (1914-1989 : chute du mur). En 1914 c'est le début de la guerre et aussi le début d'un tournant de l'histoire. Au 20e siècle il y a eu 2 guerres et 1 crise économique mondiale. Début de la notion d'inflation, c'est un siècle novateur qui se divise en 2 phases : la guerre et la prospérité. Synthèse L'essor économique s'accélère : c'est l'euphorie économique, de 1895 à 1914 c'est aussi l'apogée du capitalisme libéral. [...]
[...] Le Franc est bien vu et la Banque de France est bien organisée et mieux équilibrée que la plupart des autres banques centrales. Le Japon : c'est un état très efficace pour la mobilisation des capitaux, ils font beaucoup appel à l'étranger Beaucoup d'autres pays ont une croissance économique importante : Belgique, Hollande, Suisse La dimension internationale : cette dimension repose sur 3 faits : la migration, la relation monétaire, et le commerce extérieur. La migration : les mouvements d'homme sont très important, il représente en Europe 34 M de personnes qui quittent le continent et seulement 9 qui reviennent. [...]
[...] Ses fournisseurs deviennent des concurrents et la 2e RI avec le pétrole et le caoutchouc ne leur est pas favorable L ‘Allemagne : Elle devient la rivale européenne de la GB grâce entre autres à sa démographie croissante (1870 : 40 M d'habitants et en 1873 : 60M), à sa production qui représente de la population mondiale, et à sa volonté d'expansionnisme plutôt protectionniste comme les USA. Les USA : synonyme de réussite spectaculaire. La population a doublé en 30 ans (1880-1910) dû à l'immigration surtout. L'agriculture est encouragée par les chemins de fer, la frigorification, le crédit, les avantages du sol . L'industrie se regroupe en trust avec un but unique : le C'est un capitalisme ou tout le monde doit profité (notion de Fordisme avec production de masse et gros salaires). [...]
[...] Le rapport salarial est une façon plus contemporaine de voir la lutte des classes, et il est intégré dans le système capitaliste et aura des droits : 1875 : droit de grève ; 1889 : retraite à 60 ans ; 1893 : naissance parti travailliste Conclusion On a une persistance du libéralisme et une atténuation de l'individualisme ; on parle de capitalisme moléculaire. Le marché reste maître du mécanisme des prix. Contradiction très profonde dans l'économie car jamais une société n'avait connu autant de progrès. L'économie se mondialise malgré la multiplication des obstacles et la société reste prospère malgré les crises. A partir de 1914 l'état se doit d'intervenir même dans les états les plus libéraux et la 1GM fera éclater toutes les distorsions mais tous ne sera pas réglé. [...]
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