interventionnisme, idées keynésiennes, théorie libérale, grandes théories économiques, développement économique
Les théories économiques non pas comme un mécanisme économique mais plutôt comme un des moyens du développement économique.
L'interventionnisme n'est pas une doctrine au sens pur. C'est plutôt la constatation à un moment donné que le système libéral ne fonctionne pas et trouver des solutions.
[...] Au début du 20ème école néolibérale qui travail sur les modèles économiques mathématiques pour appuyer le principe libéro classique. Axes de la théorie libérale : L'action de l'Etat est réduite au rôle de gendarme : les fonctions régaliennes. L'Etat doit être totalement neutre en matière économique, l'impôt existe mais uniquement pour couvrir des dépenses au minimum. Tout ceci implique l'équilibre budgétaire car excédant comme déficit ni l'un ni l'autre n'ont la moindre justification. L'Etat doit protéger son commerce extérieur pour cela on doit maintenir des droits de douane. L'évolution contemporaine. Les années 70. [...]
[...] Ils n'ont plus de réponses convaincantes mais en même temps les modèles keynésiens non plus. Incertitude qui s'accroît et depuis 3-4 ans : crise économique. Nouvelle relation qui s'établie entre le politique et l'économique. On est dans l'ambiguïté, dans le refus de choix entre le modèle néokeynésien et le modèle néolibéral. Questionnement sur le modèle social français. Remise en cause du service public à la française. Mécanisme du grand emprunt. Contestation de la rigueur budgétaire. Lire Dans les échos du 20 septembre : Après l'échec de la rigueur. [...]
[...] Leijonhufvud : théorie du corridor : il y a un équilibre optimal équilibre qui conduit au plein emploi : quand le système économique se rapproche de cet équilibre optimal il vaut mieux ne pas intervenir et quand on passe à l'extérieur du corridor il faut avoir une politique active keynésienne. Section 2 : La théorie libérale Les classiques. Au 18ème : les physiocrates avec Kuesnay, ils ont construis leur théorie en réaction contre un pouvoir royal dirigiste avec la classe sociale émergente : la bourgeoisie. [...]
[...] Il a vécu les deux guerres et entre deux une grande crise économique. Il va proposer une nouvelle analyse des crises à partir de laquelle il va essayer de proposer des solutions nouvelles. Les causes de la crise : Il va construire son schéma sur la macro analyse : on ne peut pas raisonner économiquement en additionnant l'ensemble des comportements individuels puis en transposant les résultats de ces derniers au niveau de l'Etat (c'est le paradoxe des quantités globales). Ce qui est valable pour l'individu et qui va déterminer ses choix n'est pas nécessairement valable pour les finances de l'Etat. [...]
[...] Pour eux il faut réduire les dépenses publiques, baisser les impôts, privilégier l'offre plutôt que la demande et tendre vers l'équilibre budgétaire. L'école libértarienne : elle prône la suppression de l'Etat. L'école du public choise : l'Etat doit pour fonctionner s'inspirer des mécanismes du marché. Les théories néolibérales appliquées aux EU avec Reagan, et en Angleterre avec Fletcher. Dans tous les Etats développés on a eu une politique de désengagement de l'Etat qui s'est traduite en France par des vagues de dénationalisation à partir de 90, par la suppression des politiques d'aide aux entreprises publiques, déréglementation financière. [...]
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