Les fondamentaux d'économie. Fiche de 11 pages pour des révision, issue d'un cours d'IEP de 4ème année.
CHAP.1 : LES AGREGATS EN ECONOMIE
CHAP. 2 : L'ACTIVITE ECONOMIQUE
CHAP. 3 : LES GRANDS EQUILIBRES ECONOMIQUES
CHAP.4 : LES GRANDES APPROCHES DES MUTATIONS ACTUELLES : NOUVELLE ECONOMIE, ECONOMIE DE LA CONNAISSANCE, NOUVEAU MODE DE REGULATION ?
CHAP.5 : LA QUESTION DU PARTAGE DE LA VA ET DE L'EMPLOI EN ECONOMIE OUVERTE
[...] Calcul depuis 1976, critère de territorialité ( On va regarder quelle VA vont produire les services. En France, on a : Les services marchands consommation dans un bar par exemple Les services non marchands l'université par exemple, dont la VA est calculé à partir du salaire des gens qui y travaillent ( Le PIB industriel est calculé par branche = valeur du bien sur le marché valeur des CI auprès d'autres branches La somme des VA par branche donne le PIB industriel ( PNB plus calculé depuis 1976 sauf aux EU, critère de nationalité entre en compte III/ Les secteurs institutionnels ( Chaque secteur est affûté d'une mission : Etat administration générale du territoire économique national Ménages consommation (une unité de consommation = un foyer).16 millions Société et quasi sociétés non financières production de services Etablissements financiers circulation sur le marché des capitaux compartiments : o Monétaires relatif à la création monétaire o Financiers relatif à la bourse, à l'émission et à la circulation d'actions (permettant de détenir un titre de propriété), d'obligations (assimilables à un prêt) et de produits financiers Extérieur = reste du monde renvoie à la balance des paiements comprenant la : o Balance des transactions courantes composée de la : Balance commerciale X et M de biens Balance des services o Balance des transactions de capitaux à court terme o Balance des transactions de capitaux à long terme ( La notion de secteurs institutionnels» renvoie à l'idée d'institutions productrices de normes CHAP : L'ACTIVITE ECONOMIQUE ( Activité non régulière dans le temps et dont l'irrégularité est observée à travers les fluctuations, les cycles, la croissance, le développement, les crises et les mutations La fluctuation En croissance la dérivée 1ère est positive o Si la croissance est croissante la dérivée 2de sera positive aussi o Si la croissance est décroissante la dérivée 2de sera négative En décroissance la dérivée 1ère est négative o Si la décroissance est croissante la dérivée 2de sera négative o Si la décroissance est décroissante la dérivée 2de sera positive La décroissance est un recul du PIB La dépression est un état de récession qui se poursuit II/ Les cycles Courts : o Moins d'un an o Expliqués par des mouvements de stockages/déstockages qui font augmenter/baisser les prix o Depuis les '80 les cycles courts sont de plus en plus courts avec une amplitude de plus en plus forte (où les creux et les pics se succèdent) Moyens : o D'une année à 3 ans o Expliqués par les variations d'une activité économique o Analysés par Juglard et Kitchin Longs : o De 60 ans o Observés par Kondratieff et théorisés par Schumpeter o Liés aux révolutions technologiques qui ont lieu tous les 60 ans le plus souvent idée de destruction créatrice : Déstabilisation de l'ordre en place déclination de façon de faire, de métiers Emergence de nouvelles activités, compétences, secteurs III/ Croissance et développement ( 2 différences : Croissance = court terme / développement = long terme Croissance quantitative (PIB) / développement qualitatif (indicateur de développement, IDH notamment) ( Le PIB est aléatoire n'a pas de sens dans les pays très inégalitaires. [...]
[...] Les mesures prises depuis une 20aine d'années pour favoriser l'emploi des jeunes visent globalement à diminuer les coûts du travail (réduction, exonération des charges sociales). Accent tantôt mis sur les associations, tantôt sur les APU, tantôt sur les entreprises Dans tous les cas, le principe reste le même. Ce principe provoque de très nombreux effets pervers : o Lorsque le bénéfice des aides disparaît et que le coût des jeunes est réajusté au prix de marché, il y a un effet pervers car l'emploi n'est pas pérennisé. [...]
[...] Il habite Paris pas de pétrole. Pour lui et donc pour le ménage moyen, la hausse des prix est de explique que beaucoup de ménage ne comprennent pas ce chiffre, le trouve sous-estimé. Dans certains pays d'Europe du Sud, le passage à l'euros a été l'occasion d'arrondir les prix, en France pas tellement. II/ L'emploi ( Emploi chômage) = taux d'emploi pourcentage d'une classe d'âge occupant effectivement un emploi ( En France problème d'emploi sur les 2 extrêmes le taux d'emploi des salariés potentiels de moins de 24 ans ainsi que celui des plus de 55 ans est inférieur à la moyenne de l'UE et de l'OCDE s'exprime en terme de taux de chômage relatif plus élevé ( Le taux de chômage français est légèrement supérieur au taux de chômage européen parce qu'il y a des taux d'emploi des jeunes et des moins jeunes plus faibles. [...]
[...] Politique de relance de l'activité économique en France mise en œuvre d'une politique keynésienne de relance de la demande. La demande publique a été augmentée de le SMIC revalorisé, les allocations familiales aussi. La seule décision qui n'a pas été prise est celle de dévaluer le franc car en 1979 adhésion SME et le PS était convaincu du bien fondé du système. ( Relance catastrophique déficit de la balance commerciale est passé de 40 à 100 milliards de francs. En dépit de cette réforme, le chômage n'a pas vraiment reculé. [...]
[...] En France les banques détiennent peu du capital des entreprises car elles ont horreur du risque. En France : les groupes français ont toujours eu des capitaux propres très faibles car les actionnaires de ces groupes prélevaient les bénéfices plutôt que de les réinvestir (ex : Crosoloir dans les '80 = 20 milliards de francs et 20 millions de capitaux propres le jour où elle a eu un problème avec un client qui n'a pas payé, elle s'est retrouvée en cessation de paiement). [...]
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