Coase, dans son article de 1937, établit clairement que l'information n'est pas gratuite. Mais il en est de même pour d'autres coûts tels que, les négociations ou la recherche d'un associé, par le biais des contrats. Selon lui, la firme permet de limiter ces contrats car ayant une durée de vie plus longue, les contrats portent sur une période plus longue que celle des opérations ponctuelles du marché.
Mais au fur et à mesure de la croissance des firmes, celles-ci doivent répondre à d'autres exigences, et ainsi mutent pour pouvoir y répondre. C'est de cette façon que l'on peut distinguer différentes formes de firmes.
[...] Ce facteur peut alors traduire l'efficience ou l'inefficience X d'une firme. Cette inefficacité concerne principalement le manque de motivation des employés. En effet, sachant que l'équilibre budgétaire sera atteint en fin d'exercice quelle que soit l'action des salariés, ceux-ci sont moins incités à produire efficacement et, en particulier, à minimiser les coûts. En effet, sur un marché parfaitement concurrentiel, la compétition entre les firmes impose une efficacité productive minimale. Mais une firme dont l'organisation interne n'et pas assez performante sera condamnée à disparaître, faute de rentabilité contrario, quand une firme ne possède pas de concurrent, elle n'est pas contrainte à une recherche organisationnelle optimale). [...]
[...] Firmes M/U et efficience X Coase, dans son article de 1937, établit clairement que l'information n'est pas gratuite. Mais il en est de même pour d'autres coûts tels que, les négociations ou la recherche d'un associé, par le biais des contrats. Selon lui, la firme permet de limiter ces contrats car ayant une durée de vie plus longue, les contrats portent sur une période plus longue que celle des opérations ponctuelles du marché. Mais au fur et à mesure de la croissance des firmes, celles ci doivent répondre à d'autres exigences, et ainsi mutent pour pouvoir y répondre. [...]
[...] Dans ce modèle, la spécialisation permet essentiellement des économies d'échelle. La gestion centralisée permet un faible coût des stocks et une programmation optimale de la production grâce à la centralisation de l'information utile. Le salarié doit alors appliquer les décisions prises par la hiérarchie, et ne dispose que d'une très faible autonomie dans la prise de décision. En réalité, il ne dispose que de celle à son échelon (dans quel ordre il effectuera les tâches qu'il doit accomplir, s'il le peut). [...]
[...] La firme J Selon Aoki, l'essentiel de l'efficacité de l'entreprise japonaise tiendrait au traitement des innovations organisationnelles et relationnelles. Ainsi elle possède une organisation du travail souple et sans fonction figée. Dans la firme la coordination est horizontale, le traitement des flux d'information étant réalisé sans l'intervention de la hiérarchie. Nous pouvons alors répertorier tous les aspects de l'efficacité de l'entreprise japonaise: Administrativement: la coordination permet de diminuer l'importance des services administratifs dans la gestion de la coordination, ce qui génère des économies. [...]
[...] En effet, il distingue 2 firmes: la firme A et la firme J. Cette séparation est permise par le biais des attentes de chaque entreprise sur un marché quelconque. Chacune réagit selon les conditions du marché et les opportunités technologiques, et possède sa structure. L'approche de Aoki Cette approche ne peut être négligée en raison de son grand succès et de l'influence qu'elle exerce sur la réorganisation actuelle des entreprises. Depuis 1984, M.Aoki, en s'appuyant sur la théorie des jeux, a développé une analyse de la firme mettant en opposition 2 modèles: la firme J (japonaise) et la firme A (américaine) La firme A Elle caractérise l'entreprise américaine. [...]
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