C'est avec la civilisation grecque (Platon et Aristote) qu'apparaissent des amorces de théories économiques. Malgré, cela l'économie n'est pas encore un sujet d'étude en soi.
Au Moyen Âge, la religion (le christianisme) est un obstacle au développement économique. En effet, le commerce à but lucratif était interdit aux Chrétiens. Puisque ce commerce ne leur est pas interdit, les juifs sont alors l'élément moteur de l'économie (...)
[...] Les principaux courants de la pensée économique 1. Antiquité - Moyen Âge C'est avec la civilisation grecque (Platon et Aristote) qu'apparaissent des amorces de théories économiques. Malgré, cela l'économie n'est pas encore un sujet d'étude en soi. Au Moyen-Âge, la religion (le christianisme) est un obstacle au développement économique. En effet, le commerce à but lucratif était interdit aux Chrétiens. Puisque ce commerce ne leur est pas interdit, les juifs sont alors l'élément moteur de l'économie. En dénonçant l'immobilisme du Moyen Âge, Calvin apporte une révolution en matière économique et reconnaît le capital, le crédit, l'intérêt, la banque, le commerce et le profit. [...]
[...] Au 17e, se crée l'école des physiocrates, opposée aux idées mercantilistes. Pour les physiocrates (François Quesnay), toute richesse vient du sol et seul le développement de l'agriculture permet de créer ce surplus de biens qui fait la richesse de l'état L'époque classique Adam Smith est le fondateur de l'école classique. Pour lui, la liberté est la clé du progrès, l'état ne doit s'occuper que de l'armée, l'administration et la diplomatie. Selon Smith, la richesse d'un pays dépend de la richesse des individus. [...]
[...] Ainsi, en période de crise, l'état doit intervenir pour régulariser l'économie. Pour se faire, il doit relancer le pouvoir d'achat par la création d'emplois publics, baisser les taux d'intérêt (stimule l'investissement) et développer une politique fiscale qui ne freine pas la consommation. Pourtant, la théorie keynésienne ne s'oppose pas au fonctionnement du capitalisme. Selon lui, il faut seulement lutter contre le chômage quand cela est nécessaire. Le gouvernement laisse chacun libre, sauf quand l'économie va mal Le monétarisme C'est dans les années 1970, après des relances économiques peu efficaces, que la théorie monétariste apparaît. [...]
[...] Toutefois une période d'adaptation entre les deux système peut être nécessaire (la dictature du prolétariat), elle permettrait d'éliminer la bourgeoisie Les néo-classiques À la fin du 19e, on voulut démontrer le mal fondé des idées marxistes, mais aussi les avantages du libéralisme économique. Les principaux auteurs du néo-classicisme sont Alfred Marshall, Léon Walras ou Vilfredo Pareto. Ils s'intéressent au comportement individuel des producteurs ou des consommateurs (les classiques les analysaient par groupes sociaux). Le système néo-classique suppose le plein-emploi, d'où la nécessité d'équilibre général entre la production, consommation et emploi. La surproduction n'est pas concevable. La grande dépression des années 1930 bouleversera ces idées La théorie keynésienne John Maynard Keynes dénonce les théories néoclassiques. [...]
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