La micro-économie représente une branche de la science économique, pour cerner ses enjeux et ses limites, on a toujours tendance a se référer à l'œuvre fondamentale de Keynes (1936) : « Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie ». Elle a bouleversé la pensée économique. Cet ouvrage a eu le mérite de mettre l'accent sur la distinction entre la micro et macro-économie.
[...] La gestion rationnelle du producteur consiste à trouver les quantités optimales de x1 et x2 (les facteurs de production). Plusons'éloigne de l'origine, plus les dépenses engagées sont grandes. λ indique de combien va augmenter la quantité produite suite à une augmentation d'une unité monétaire sur chacun des facteurs de production. Le paramètre μindique de combien va augmenter le cout total si on augmente d'une unité la quantité produite. Le profit total est celui qui est réalisé sur l'ensemble des quantités produites. Le profit marginal est celui qui est réalisé sur la dernière unité vendue. [...]
[...] A cet optimum de cout correspond une quantité optimale à produire. Cela signifie qu'une firme en place peut profiter des coûts unitaires d'autant plus faibles qu'elles arrivent à atteindre une échelle de production élevée. L'existence d'un degré de différenciation des produits Des consommateurs sont très attachés aux produits qui sont vendus par les firmes en place, ce qui constitue un obstacle non négligeable pour les nouveaux entrants qui veulent accaparer une partie de la clientèle des firmes en place. Pour ce faire, elles doivent engager des dépenses supplémentaires pour la publicité, marketing, frais de distribution . [...]
[...] La courte période est un cadre conceptuel d'analyse pour lequel au moins un facteur de production est fixe. La longue période est un cadre conceptuel d'analyse pour lequel tous les facteurs de production sont variables. La productivité totale d'un facteur de production X1 est la quantité Q qui peut être obtenue si on considère un facteur de production fixé à l'avance. PT = Q = f ->fixe) La productivité moyenne PM est définie comme le rapport entre la productivité totale Q au nombre de facteurs de production variables. [...]
[...] Autant de phénomènes nouveaux qui nécessitent une autre approche, un autre modèle, autre que la concurrence pure et parfaite, qui en fait s'intéresserait à la théorie de l'organisation industrielle, qui se penchera sur ce qui concerne l'oligopole et la concurrence imparfaite. Une opposition d'approche entre la micro-économie et l'économie industrielle de l'autre. Il y a besoin d'un nouveau modèle, le modèle SCP (Structure du marché, Comportement, Performance). Les entreprises doivent réaliser de bonnes performances, mais elles dépendent des comportements (stratégies mises en places). Les comportements dépendent eux, des structures de marché (oligopole, monopole Ces structures à leur tour, dépendent des conditions de bases. [...]
[...] D'où viennent les économies d'échelle ? On distingue 4 facteurs : La spécialisation A. Smith a montré que l'efficacité au sein de l'entreprise augmente lorsque le travail est divisé. Exemple de la fabrication d'une épingle en 18 étapes avec un gain de productivité 240 fois > à une fabrication d'épingle sans division du travail. Ainsi selon lui, la taille de l'entreprise permet d'employer des travailleurs spécialisés sur des postes bien définis. L'automatisation Le fait d'appliquer de façon systématique la division du travail et d'avoir recours à une spécialisation poussée augmente les possibilités d'automatiser des tâches particulières ou encore des processus complets de production. [...]
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