Le travail des femmes change de forme, les femmes sortent du domicile. Changement dans les pratiques : série de lois qui va viser à protéger les femmes et les enfants, puis au XXe siècle la montée en puissance du secteur des services.
A travers le travail, nous allons étudier l'éducation et l'argent, ainsi que l'émancipation financière des femmes.
Jusqu'en 1866, les femmes mariées ne pouvaient ouvrir un compte sans l'autorisation de leur mari.
Le bonnet phrygien des révolutionnaires : la constitution réclame le droit au travail et à l'instruction. Les femmes obtiennent enfin la majorité bancaire. Chaines rompues : libération de la femme. Le pantalon est interdit dans le domaine professionnel jusqu'en 1968. Certaine femme tienne un chéquier : conquête d'une clientèle nouvelle.
En 1970, c'est le tout début de la généralisation des comptes : payer par espèce ou virement postal et il faut attendre 1969 et la rémunération au mois que la société se bancarise largement.
[...] Il veut que les femmes soient instruites sinon elles sont sous la coupe de l'Eglise qui est favorable aux monarchies. Là, le régime autoritaire est soutenu par l'Eglise donc les opposants veulent soustraire les petites filles à cette influence par l'éducation. La loi Guizot de 1833 préconise pour chaque commune de moins de 800 habitants une école pour tout le monde mais pas de financement prévu donc les parents n'avaient pas les moyens de payer. L'Etat, lui, assume la formation d'enseignants. [...]
[...] 1944, droit de vote. 1946, le salaire féminin est abrogé. La constitution abroge toutes restrictions de la condition des femmes. 1965, la réforme des régimes matrimoniaux. Elles peuvent travailler sans accord de leur mari. La femme mariée peut ouvrir un compte bancaire. 1971, le congé de maternité est indemnisé à 90% de leur salaire. 1972, égalité rémunération homme femme (juste un principe). 1974, le secrétariat d'Etat à la condition féminine. 1975, IVG de S.Veil; discrimination. La femme peut vivre ailleurs que son époux. [...]
[...] 1979, amélioration de la condition de la femme en France: suppression du travail de nui pour les femmes. 1981, création ministère droit de la femme. 1983, 1ère loi sur l'égalité homme/femme au travail (directive européenne). Suppression de la notion de chef de famille (les femmes peuvent signer la déclaration fiscale). 1985, congé parental ouvert à chacun des parents. Suppression de la gestion exclusive des biens communs pour le mari. 1986, féminisation des métiers 1992, reconnaissance du harcèlement sexuel dans le travail. 2001, nouvelle loi sur l'égalité professionnelle (de même qu'en 2005). [...]
[...] En 2006, les femmes représentaient à peine membres administration entreprise françaises (cf article Le Monde La révolution inaboutie et article Laboratoire de l'égalité). Les femmes n'arrivent pas à accéder aux postes à responsabilité: plafond de verre. L'Etat ne représente pas un modèle. Ce n'est pas une question de qualification. Elles gagnent moins et sont + exposées au chômage (sauf chez les jeunes). Le modèle du mariage ne se diffuse plus, évolution de la société qui fait que souvent le modèle du mariage est remis en question. Dans la famille monoparentale, les femmes snt surreprésentées. [...]
[...] 1892: interdiction de travail de nuit pour les femmes (seulement dans les usines). Les progrès technologiques notamment l'électricité permet de travailler de nuit. Elles travaillent aussi dans la domesticité. L'émergence des fonctionnaires ou employées de banque (cf le Crédit Lyonnais, note sur le service des dames), les femmes sont payées moins que les hommes. Dès le départ, le travail féminin est considéré comme un travail d'appoint puisque c'est le mari qui ramène l'argent. Aucune mobilisation des syndicats pour un salaire égal aux femmes. [...]
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