La tertiairisation est un phénomène qui affecte la structure de la population active et se manifeste par le transfert des actifs des secteurs d'activités primaire et secondaire vers le secteur tertiaire. Plusieurs causes : l'augmentation des dépenses de santé et de loisir accroissent la demande dans le domaine des services. L'externalisation de certaines activités exemple : entretien, maintenance, livraison, recrutement (...)
[...] Les aspects qualitatifs du travail La tertiairisation est un phénomène qui affecte la structure de la population active et se manifeste par le transfert des actifs des secteurs d'activités primaire et secondaire vers le secteur tertiaire. Plusieurs causes : l'augmentation des dépenses de santé et de loisir accroissent la demande dans le domaine des services. L'externalisation de certaines activités exemple : entretien, maintenance, livraison, recrutement. Ces taches sont donc confiées à des prestataires de service. Le développement des technologies de l'information et de la communication (TIC) et utilisation massive de l'informatique sans tous les domaines. La majorité des actifs sont employés voire cadre ou font partie de professions intermédiaires. [...]
[...] Il existe également des moyens pour calculer la productivité du capital : Volume : volume de production / volume de capital. Cet indicateur mesure la quantité de biens produit ; Coefficient de capital : capital fixe / production. Cet indicateur mesure la quantité de capital nécessaire pour produite une unité de production ; Intensité capitalistique : capital / emploi. Cet indicateur mesure la quantité de capital utilisé pour chaque travailleur. L'investissement L'INSEE mesure l'investissement avec l'agrégat FNCF (Formation Brute de Capital Fixe) mais les économistes observent ainsi la progression des investissements immatériels et financiers. [...]
[...] Si les machines sont plus performantes, la productivité apparente au travail augmente. Autres facteurs pris en compte : motivation des salariés, leur formation, l'organisation du travail. Les gains de productivité horaire permettent d'obtenir un volume de production plus élevé par heure de travail. Si le coût reste inchangé, le coût de revient par unité produite baisse. L'entreprise améliore sa productivité par rapport à ses concurrents. Au plan macro économique, les gains de productivité se traduisent par une augmentation de la valeur ajoutée et donc de la croissance économique. [...]
[...] Sa théorie se décompose en 3 points : L'éducation est un investissement qui nécessite du temps et implique de renoncer à un salaire immédiat ; L'éducation est un investissement rentable puisqu'il permettra à l'individu d'obtenir dans le futur un revenu supplémentaire du fait de l'accroissement de ses connaissances ; L'investissement en capital humain est profitable. Chaque fois que les gains futurs attendus sont supérieurs aux coûts de l'investissement en capital éducatif. La productivité du travail C'est le rapport en volume de la production sur les facteurs de production utilisés pour l'obtenir. Production physique du travail : Par rapport au nombre d'heures : quantité produits / nombre d'heures de travail ; Par rapport à l'effectif occupé : quantités produites / effectif occupé. Ces mesures physiques ne sont pas utilisables ou niveau macro économique. [...]
[...] La dynamique de l'investissement déclenche un effet multiplicateur favorable à la croissance économique. En effet, la décision d'investir est à l'origine d'une production nouvelle et d'une distribution de revenu supplémentaire. Investissement et emploi Le croisement de ces deux données est toujours sujet à contre verse. Les économistes s'accordent à dire qu'a court terme l'investissement peut engendrer des suppression d'emplois par substitution du capital au travail mais à moyen et long terme il contribue à supprimer des tâches pénibles au profit de nouveau emplois plus qualifiés. [...]
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