Évolution de l'environnement, culture du chiffre, monde du travail, Milgram, comptabilité
C'est au début du 19e siècle que naissent 2 nouvelles idées dans la pensée occidentale :
La spécialisation et l'économie des chaines.
La première consiste à intensifier une production spécifique, et donc à être plus fort, tandis que la seconde consiste à fabriquer plus en étant plus efficace. Plus tard, Ricardo parlera des avantages comparatifs. On échange un bien par rapport à la valeur qu'on lui attribue.
[...] Ce stress joue également sur son environnement et le perturbe encore plus. On observe ainsi une espèce de cercle vicieux néfaste au bon fonctionnement de l'entreprise. Egalement du point de vue de la santé, plus un individu est stressé par son travaille, plus sa santé va se détériorer, il peut en effet voir l'apparition d'ulcères par exemple qui vont le contraindre à réduire son temps de travaille et donc va nuire a l'efficacité de l'entreprise. Ainsi, le mot ‘manager' prend ici tout son sens, il s'agit d'emmener les gens, d'atteindre des objectifs en ayant le sens des relations et de trouver des solutions. [...]
[...] Il faut prendre en compte l'aspect humain dans l'entreprise, on parle de psychologie dans l'entreprise mais il ne faut pas faire fonctionner l'entreprise irrationnellement. Son but étant de chercher à rendre des services, et créer de la richesse afin de faire tourner un système macro- économique. Une entreprise cherche en permanence l'innovation, la satisfaction des attentes. Après la 2e Guerre mondiale, le monde entre dans une période de reconstruction aussi bien économique que géographique. Le système basé sur le calcul du chiffre est remis en question, on instaure un nouvel instrument de mesure : la comptabilité. [...]
[...] l'enseignant dicte les mots à l'apprenant et vérifie les réponses. En cas d'erreur, il fait souffrir l'apprenant en lui envoyant une décharge éléctrique. l'expérimentateur représente l'autorité, vêtu de la blouse grise du technicien, de maintien ferme et sûr de lui. L'expérimentateur et l'apprenant sont en réalité des comédiens, et les chocs électriques fictifs. Milgram se place dans un cadre évolutionniste et conjecture que l'obéissance est un comportement indissociable à la vie en société et que l'intégration d'un individu dans une hiérarchie implique que son propre fonctionnement en soit modifié : l'être humain passe alors du mode autonome au mode systématique où il devient l'agent de l'autorité Toute société est fondée sur l'obéissance à une autorité et l'intégration de l'individu au sein d'une hierarchie. [...]
[...] On échange un bien par rapport à la valeur qu'on lui attribue. Ainsi nait la culture du chiffre. On mesure et on évalue les échanges. La valeur du bien et différentes de la somme de ses constituants, mais correspond à la valeur sentimentale que les gens lui donne. Pour une meilleure optimisation, une nouvelle forme d'organisation est mise en place, l'OST (organisation scientifique du travail). Cette organisation est fondée sur la division de l'instance de décision et de l'exécution des taches et instaure une certaine régularité dans la demande d'un bien. [...]
[...] L'évolution de l'environnement Le monde de l'entreprise et son management repose également sur son environnement. Paradoxalement, celui-ci est perturbé et perturbant. Le monde du travail est un endroit très perturbé où les travailleurs s'impliquent toujours émotionnellement. Cela entraîne un dysfonctionnement quant à l'efficacité et l'organisation de l'entreprise. Le fait qu'un individu lambda s'implique émotionnellement dans un projet tout simplement ou encore au sein d'un groupe peut nuire à son efficacité dans ce projet ou ce groupe. Par exemple si celui-ci est inclus dans un groupe, il sera amené à se distraire au sein de se groupe et ainsi il verra son efficacité diminuée. [...]
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