Déséquilibres, politiques économiques et sociales, économie ouverte, PDEM depuis 1945, déséquilibres macroéconomiques, déséquilibres externes
Inflation : déséquilibre macroéconomique : hausse générale des prix auto-entretenue.
origine : - hausse des coûts de production
- demande > offre
- augmentation de la masse monétaire
Concrètement : hausse des salaires (supérieure aux gains de productivité).
Dur de savoir pour l'URSS, car les prix étaient planifiés, donc stable, mais en fait, ça cachait une grosse inflation (cf le passage à l'éco de marché, les files d'attente = hausse de la demande).
[...] compense le ralentissement de la croissance. Cause de la baisse : le tps partiel, les 39h (1982) et 35h (2000) : les libéraux critiquent car hausse des coûts des entreprises puisque la baisse du tps de travail se fait avec le maintient des salaires, et si l'Etat aide les entreprises en diminuant les prélèvements, ça creuse le budget (pas bon pour l'Europe), et augmentent les prévèlements pour d'autres. Le rôle de la productivité est majeur : si elle est + forte que la Xce démographique : pas bon pour l'emploi. [...]
[...] Les moins qualifiés sont le plus touchés car ce sont eux qui ont un plus grand salaire par rapport à leur productivité, à cause du salaire minimum, leur formation n'est peut-être pas adaptée, et s'il y a moins d'offre que de demande, il passe après les plus qualifiés. taux de chômage dépend de l'équilibre trouvé avec les salaires. Chômage involontaire : si on veut travailler pour moins cher que le salaire minimum, c'est pas légal donc chômage . le contrat implicite : accord tacite sleon lequel on accepte un salaire moindre même en cas de croissance, car on le conservera aussi en cas de récession. [...]
[...] Il faut donc repérer le dominant pour mettre en place une politique économique efficace : relance pour le keynésien, baisse des charges sociales sur les salaires pour le classique. Fitoussi propose de réduire les charges sur les bas salaires, et d'élever le salaire net : donc baisse du coût du travail (pour le classique) et relance de la demande, les déficits causés seraient alors compensés par la reprise, c'est donc une relance budgétaire. Ce qui pose problème avec le chômage c'est la double dimension du salaire : à la fois pouvoir d'achat et coût pour l'entreprise, donc faut-il les augmenter ou les diminuer? [...]
[...] Problème des dévaluations : n'incitent pas les entreprises à travailler leur compétitivité hors prix, alimentent inflation (ce qui n'est pas un problème pendant les 30 glorieuses car la Xce la compense). Régime de change flexible : contexte de libre circulation des capitaux. relance = déficit et inflation baisse du taux de change = bon pour la compétitivité prix, résorbe le déséquilibre extérieur Mais la réalité est autre : exemple : solde de la balance commerciale américaine est déficitaire depuis 95, or le dollar se valorise grâce à une bonne croissance, qui creuse d'ailleurs le déficit, mais qui donne confiance, sans pour autant rétablir le déséquilibre. bizarre ça . [...]
[...] Baisse du temps de travail peut maintenir l'emploi en cas de baisse de la demande, Xce extensive favorise emploi donc faut pas condamner le progrès technique : depuis la RI du 19ème, durée du travail divisée par pouvoir d'achat moyen a décuplé, et le solde de création d'emploi est plus souvent en faveur de créations nettes que de destruction d'emplois. L'impact de la démographie dépend des politiques de l'emploi : une hausse de la démographie peut coïncider avec baisse du chômage et l'inverse aussi. (pré-retraites, allongement des études . repoussent le chômage). [...]
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