Economie, épargne, investissement, taux d'intérêts, Keynes, revenu disponible, consommation
Asymétrie d'information : situation dans laquelle deux agents économiques, dans le cadre d'un rapport d'échange ou d'un rapport non marchand, disposent d'une inégalité d'information.
Banque : institution financière qui collecte des ressources monétaires et des ressources d'épargne et qui participe au financement de l'économie par le crédit et l'acquisition de titres.
Titre : document certifiant un droit de propriété ou une créance. Le titre peut être nominatif ou de type « porteur ». Il a une valeur mobilière.
Bourse des valeurs : lieu ou s'échangent, par l'intermédiaire des sociétés de bourse, des valeurs immobilières.
Economie d'échelle : réduction des coûts par unité produite en raison d'une augmentation de la quantité produite.
Epargne : partie du revenu qui, pendant une période donnée, n'est pas consacrée a la consommation.
Financement intermédié : financement caractérisé par l'intervention d'un intermédiaire financier ; synonyme de financement externe indirect.
Marché financier : marché de capitaux à long terme. Lieu d'émission et d'échange des valeurs mobilières, principalement les actions et les obligations. Synonyme de marché boursier.
Marché monétaire : marché des capitaux à court terme auxquels ont accès tous les agents économiques. Il existe un marché interbancaire au sens strict, réservé aux agents financiers.
Taux d'autofinancement : Rapport au pourcentage entre l'épargne brute et la formation brute de capital fixe.
[...] Il existe un marché interbancaire au sens strict, réservé aux agents financiers. Taux d'autofinancement : Rapport au pourcentage entre l'épargne brute et la formation brute de capital fixe. Taux d'endettement bancaire : pour les sociétés, rapport en pourcentage entre endettement bancaire et valeur ajoutée brute ; pour les ménages, rapport entre endettement bancaire et revenu disponible brute. Taux d'intermédiation : indicateur qui vise à mesurer la part des financements réalisés par les intermédiaires financiers par rapport aux financements totaux. Le contrôle portera aussi sur l'épargne alors refaire question de la page 84-85 Activité 1 : D'après Keynes l'épargne est l'excès du revenu sur la dépense pour la consommation. [...]
[...] Le titre peut être nominatif ou de type « porteur ». Il a une valeur mobilière. Bourse des valeurs : lieu ou s'échangent, par l'intermédiaire des sociétés de bourse, des valeurs immobilières. Economie d'échelle : réduction des coûts par unité produite en raison d'une augmentation de la quantité produite. Epargne : partie du revenu qui, pendant une période donnée, n'est pas consacrée a la consommation. Financement intermédié : financement caractérisé par l'intervention d'un intermédiaire financier ; synonyme de financement externe indirect. [...]
[...] Epargne - FBCF épargne financière Capacité de financement épargne financière : c'est l'épargne qui sert a l'investissement. Epargne totale = FBCF + capacité de financement Epargne totale = épargne financière + épargne non financière Epargne financière : elle désigne la partie de l'épargne faisant l'objet d'un placement : banque ou titre. Capacité de financer d'autres agents économiques. Cette capacité de financement signifie que les ménages ont des ressources/revenus en excédents qu'ils peuvent mettre à disposition à d'autres agents économiques qui eux ont un besoin de financement. [...]
[...] Cela est dût à la baisse du taux d'investissement immobilier et du taux d'épargne financière à 205 investissement immobilier relativement stable Augmentation du taux d'épargne financière Activité 3 : CE DOCUMENT EXPLIQUE LA CONCEPTION NEOCLASSIQUE DE L'EPARGNE. L'épargne est un choix entre une utilisation immédiate du revenu (=conso) et une utilisation différée (conso future) Individu a une préférence pour le présent, il préfère la jouissance immédiate donc chaque individu préfère consommer plutôt que d'épargner et donc de se sacrifier. La condition du sacrifice c'est la rémunération future. [...]
[...] Le taux d'intérêt influence alors la part que l'individu souhaite consacrer à des encaisses monétaires. Cette préférence pour la liquidité dépend en partie du taux d'intérêt. Autrement dit, alors que le taux d'intérêts influence chez les néoclassiques, le montant de l'épargne accumulée, il influence, chez les keynésiens, la forme de l'épargne accumulée, c'est-à-dire le partage entre l'épargne « liquide » et l'épargne « non liquide ». Activité 4 : L'épargne est un facteur de croissance économique à long terme car elle favorise l'investissement finance cet investissement (acheter le capital) L'investissement permet d'augmenter le stock de capital et donc d'améliorer la productivité c'est a dire améliorer l'efficacité de la production et donc augmente le PIB. [...]
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