La France est actuellement soumise à un système économique contributif. C'est-à-dire qu'il ouvre droit à versement aux ménages d'un certain nombre de prestations sociales telles que la retraite, l'allocation chômage, les allocations familiales, l'allocation logement....
Ce système fait donc appel à une solidarité intergénérationnelle.
Cependant, face aux crises économiques répétées et les conséquences désastreuses sur le déficit public, la France va-t-elle devoir bientôt adopter un système basé sur la fiscalisation des retraites, par exemple ? (...)
[...] Au final, on constate que la multiplication des impôts et des taxes ne réduisent pas la dette au contraire elle ne cesse d'augmenter. Etat des lieux pour 2010 : Il faut savoir que de la dette française est détenue par des investisseurs étrangers qui veulent s'assurer du sérieux des états dans leur gestion du pays, d'où les importantes fluctuations de l'euro sur les marchés. Ainsi, les investisseurs sanctionnent les manques de perspectives de croissance dans l'Union Européenne (U.E.), ils ont besoin de garanties, ils veulent imposer aux états européens : rigueur, sens des responsabilités et leur imposer le courage de réformer structurellement leurs économies. [...]
[...] Ce système fait donc appel à une solidarité intergénérationnelle. Cependant, face aux crises économiques répétées et les conséquences désastreuses sur le déficit public, la France va-t-elle devoir bientôt adopter un système basé sur la fiscalisation des retraites, par exemple ? Cela ne va-t-il pas créer de nouvelles inégalités sociales ? Cela ne va-t- il pas creuser encore un peu plus les inégalités sociales déjà existantes ? Rappel : Déjà en 1991, le gouvernement de Monsieur ROCARD créait la Contribution Sociale Généralisée (C.S.G.) dans le cadre de la loi de finances et pour tenter de réduire le déficit public de la France. [...]
[...] C'est factuel en 2009/2010, les ménages ont mis en place un système d'épargne de précaution. Le défi pour le gouvernement français étant de ne pas aboutir à une déflation. baisse généralisée des prix dans tous les secteurs) - le peuple va devoir cesser de s'accrocher à des chimères idéologiques qui les poussent à élire un Président de la république qui les fait rêver. - Accepter que la fiscalisation soit la réponse. Parallèlement, l'Union Européenne, toujours dans le cadre de la gestion de cette crise économique, un dispositif inédit dans son histoire : - mise en place d'une gouvernance économique avec une nouvelle pratique institutionnelle, à savoir que la Banque Centrale Européenne (B.C.E.) intervient sur les marchés financiers. [...]
[...] D'où une question, où la France va-t-elle pouvoir trouver les 100 milliards manquants ? Et surtout par quels moyens ? Surtout que la Commission Européenne, à Bruxelles, exige un retour à la normale pour 2013. A savoir un déficit public n'excédant pas du P.I.B. Evidemment, la rigueur est une qualité que doit avoir un état pour piloter son pays. Par exemple, les Etats-Unis n'ont pas su gérer des événements macro- économiques tandis que l'Union Européenne elle, vu apparaître ses dysfonctionnements internes. [...]
[...] pense créer un poste de Ministre des Finances de l'Union Européenne .Ce projet aboutira s'il y a une volonté politique commune. (principe déjà autorisé par le Traité de Lisbonne) Conclusion : La crise économique que traverse l'Union Européenne depuis maintenant presque 02 ans met en évidence que la situation économique de l'U.E. n'est pas stabilisée et que les inégalités des modèles économiques en Europe perdurent et retardent les prises de décisions efficaces. Il faut cependant savoir que les états utilisent le déficit public comme amortisseur en période de crise. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture