croissance, smithienne, schumpetérienne, offre, travail
Le départ de l'industrialisation est situé au milieu du XVIIIème siècle marqué par une croissance économique progressive. Cette croissance va être le sujet d'analyse de plusieurs économistes notamment celle d'A. SMITH et de J.A.SCHUMPETER.
SMITH et SCHUMPETER ont deux visions différentes de la croissance économique : le premier s'appuie sur la demande et sur la division du travail, tandis que le second se concentre sur l'offre et sur l'innovation. Mais SMITH est contemporain de la naissance de cette révolution industrielle tandis que SCHUMPETER est né à la fin du XIXème siècle l'industrialisation s'est développée. Cependant, ces idées possèdent toutes deux des limites.
Dans quelle mesure les théories de croissance smithienne et schumpétérienne s'appliquent-elles à la réalité de l'industrialisation ?
[...] Ce qui nous amène a parler de la croissance schumpétérienne. II La croissance schumpetérienne La logique de l'offre SCHUMPETER défend l'idée que l'offre est à l'origine du progrès technique alors que le comportement routinier conduit à l'état stationnaire. Elle permet l'accroissement de la productivité et l'évolution du marché. Mais, ce n'est pas tout, il ne néglige pas l'importance de l'innovation et de l'entrepreneur. L'innovation et l'entrepreneur L'innovation et l'entrepreneur vont accéder à une évolution de la transformation qualitative du système de production. [...]
[...] Dans quelle mesure les théories de croissance smithienne et schumpétérienne s'appliquent-elles à la réalité de l'industrialisation ? Tout d'abord nous débuterons par la croissance smithienne, puis nous finirons par la croissance schumpetérienne. I La croissance smithienne Une croissance extensive SMITH explique que la demande et le marché sont le moteur de l'organisation du travail. C'est donc l'origine de la division du travail et de l'extension du marché qui consiste à séparer les tâches des travailleurs dans l'industrie pour ensuite les spécialiser. [...]
[...] La croissance smithienne est générée par la division du travail qui va entrainer la hausse de la production et de la consommation. Cependant, la demande a tendance à stagner et donc il y a une surproduction. Ainsi, la croissance schumpetérienne, engendrée par l'offre, est la solution à cet état stationnaire par les innovations et les entrepreneurs. Mais, cette vive production qui en décline est menacée par l'épuisement des ressources naturelles qui n'est pas pris en compte par SCHUMPETER dans son analyse. [...]
[...] Par exemple, la manufacture d'épingle qui contient 18 tâches d'opérations différente et ainsi fait accroître sa production. De plus, le besoin de main d'œuvre croît suite à cette division et donc le salaire aussi. De plus, les produits existe sur le marché en plus grande quantité donc les coûts du produit diminuent. Ainsi, la demande de biens est accomplie de même qu'il y a une amélioration de vie et une abondance de consommation. Le système proto industrielle est aussi fondé sur la division du travail : les tâches non qualifiées des ruraux sont payées moins cher et les tâches des ouvriers spécialisés sont payées plus cher. [...]
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