Fluctuation économique : ensemble des mouvements de ralentissement ou d'accélération du rythme de la croissance économique.
La notion de cycles économiques renvoi à l'idée que les fluctuations sont assez régulières c'est-à-dire qu'il y a alternance de ces mouvements descendants ou ascendants.
Un cycle comprend 4 phases :
- l'expansion (c'est-à-dire la hausse de la production).
- la crise (qu'on appelle le retournement du cycle, c'est-à-dire le moment où la conjoncture bascule dans un sens défavorable).
- la récession ou dépression (ralentissement de la croissance ou baisse de la production).
- la reprise (c'est le début d'une nouvelle période d'expansion).
[...] La croissance est instable : fluctuations et crises Définitions *Fluctuation économique : ensemble des mouvements de ralentissement ou d'accélération du rythme de la croissance économique. La notion de cycles économiques renvoi à l'idée que les fluctuations sont assez régulières c'est-à-dire qu'il y a alternance de ces mouvements descendants ou ascendants. Un cycle comprend 4 phases : l'expansion (c'est-à-dire la hausse de la production) la crise (qu'on appelle le retournement du cycle, c'est-à-dire le moment où la conjoncture bascule dans un sens défavorable) la récession ou dépression (ralentissement de la croissance ou baisse de la production) la reprise (c'est le début d'une nouvelle période d'expansion) La récession désigne soit un ralentissement de la croissance soit pour l'INSEE, un taux de variations négatives du PIB pendant 2 trimestres consécutifs. [...]
[...] La confiance avait disparu. Dans le même temps, tout le monde cherchant à vendre, mais personne souhaitant acheter, l'offre devient très supérieure à la demande, ce qui a provoqué le krach boursier de l'automne 2008 d'une ampleur sans précédent depuis 1929. Les banques se sont retrouvées en très grandes difficultés, car il y a eu une grande crise de liquidités. Elles refusaient de se prêter entre elles et avaient donc des difficultés pour s'approvisionner en liquidités. Les banques ont réduit les crédits qu'elles accordaient aux ménages et aux entreprises freinant par là la consommation et l'investissement. [...]
[...] L'analyse économique s'intéresse au point de retournement de l'activité c'est-à-dire des crises et elle s'efforce de comprendre comment ces crises apparaissent. La crise de 1929 est la plus importante au 20e siècle, car : C'est une véritable dépression, car en prenant 1929 en base 100, le PIB de 1932 en volume est de 54 aux États-Unis en Allemagne et 77 en France. Il y a une déflation importante entre 1929 et 1932. Les prix ont diminué de aux États-Unis et de en France. [...]
[...] Les politesses de libéralisation financière ont largement contribué à l'extension de la crise financière à l'ensemble de la planète. Elles sont à l'origine de l'interdépendance des marchés financiers. Quand la bourse de New York chute, les autres font de même. Les produits financiers sont devenus tellement complexes, tellement peu transparents, qu'il est difficile y compris pour les banquiers de les maîtriser. Cette crise s'est transformée en crise de la dette. [...]
[...] Ce sont des prêts subprimes avec des taux d'intérêts plus élevés. Tant que les taux d'intérêt étaient relativement bas, les ménages modestes ont pu s'endetter sans problème. D'autant que dans le même temps, la hausse du prix des maisons rendait ces nouveaux propriétaires solvables. Le facteur de déclencheur de cette crise a été, à partir de 2004, la hausse des taux d'intérêt de la FED. Grâce aux taux variables, les banques ont pu répercuter cette hausse sur leurs prêts en cours. [...]
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