Crise de 1973, 1973, staflation, inflation, chômage, interpétations, keynésiens, marxistes, libéraux
Fiche de cours sur la crise de 1973 retraçant les évènements ayant eu lieu pendant la crise ainsi que les différentes théories qui interprètent cela. Fiche réalisée à partir de cours de classes préparatoires ECE.
[...] Conception libérale : -Chez Milton et Rose Friedman dans la pyramide du Statu quo ; la crise a pour origine des pol monétaire au cours des années 60, tous les pays industrialisés veulent le plein emploi et pratiquent des pol de déficit budg, de relance budg : principe du « déficit permanent ». Ce déficit est financé par création monétaire, le déficit se fait par avance de la banque centrale (aug masse monétaire à CT et les émissions de bon du trésor (nn négociables, aug masse monétaire à MT). (Avec des émissions d'obligations, il n'y a pas de créations monétaire car il faut de l'S). Conformément à l'équation de Fisher, l'aug de la masse monétaire génère de l'inflation. I. Fisher : Mv = PQ. [...]
[...] C'est une baisse directe : cotisations sociales plus importantes mais les salariés ont moins de charge. Baisse indirecte : aug des accidents de des maladies -interprétation néo-Schumpetérienne : crise du PT. -G. Mensch (1979) dans Stalemate in technology: Innovations overcome depression. Cette vision repose sur l'utilisation d'un K fixe onéreux (Fordisme) à l'achat mais aussi en entretient. Dans ce système fordiste, l'aug du coût des consos intermédiaires énergétique a accrue les coûts totaux et remis en cause le système fordiste. C'est une crise avant tout industrielle, c'est la fin d'un cycle de PT. -C. [...]
[...] (Pompidou 1970 : « mieux vaut l'inflation que le cho » on voit bien la recherche du plein emploi au détriment de l'inflation.). Ces pol là ont un caractère artificiel car à LT il existe un chô naturel directement dépendent des structures de l'éco. A LT ces pol de plein emploi débouchent sur du chô et de l'inflation stagflation. Friedman « à CT on est tous Keynésien » mais à LT on est tous contre Keynes (voir schéma cahier). A LT on retrouve le chô initial avec une inflation supp. -Ecole des choix publics : J. [...]
[...] Grejbine : la crise est une crise de surinvestissement (A. Barrère (voir schéma)) d'après G ainsi qu'un excès d'S. -J.P Fitoussi : (tjrs dans le même ouvrage) ; la crise a pour origine la sur-épargne. Il pense que la législation a entrainée une rigidification des marchés (revoir pol éco : SMIG et le choc pétrolier a naturellement entrainé de l'inflation. L'aug du prix du pétrole a modifié la répartition au dépend des pays industrialisés et sous-dvlt. Or le comportement de conso des pays de l'OPEP est très limité, leur propension marginale à conso est relativement faible. [...]
[...] Herzog l'éco à bras le corps (1974). Il y a deux mécanismes dans la crise : -Baisse tendancielle du tx de profits : c'est le résultat des années 60 où les E ont substitué le W au K et qu'elles ont effectué des I financiers. Or ce qui est à l'origine de la plus value c'est le il y a donc une baisse de cette dernière qui est pourtant à l'origine des gains des entrepreneurs. Seul le W est exploitable, et plus ont I en machine, moins on a de plus-value (la plus value absolue provient d'un surtravail : w plus et payé moins et la plus value relative : c'est W une intensité plus forte que la moyenne). [...]
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