Dans les années 70, l'environnement n'était pas considéré comme un problème économique mais écologique. Pourtant en 1970, le club de Rome a soulevé le problème de la pollution par la croissance économique, il a diffusé certain message sur la croissance et aujourd'hui, 40 ans plus tard, on parle de décroissance.
Au point de vue économique, la décroissance est absurde. On va s'appauvrir sans régler le problème. L'économiste s'est intéressé à l'environnement à partir des années 90.
Pourquoi parle-t-on de l'environnement comme problème économique ? L'environnement c'est globalement la nature (l'eau, l'air,...). Pendant longtemps, l'environnement était considéré comme un bien gratuit ou quasi-gratuit. L'air on commence à le payer de plus en plus. Or l'économie ne s'intéresse pas à ce qui est gratuit. Il a fallu que l'environnement ait un prix pour que l'économiste s'y intéresse. On leur a demandé de trouver le meilleur prix pour l'environnement (...)
[...] Les consommateurs commencent à développer une conscience de l'environnement. L'inconvénient de tout label c'est que cela repose sur des critères qui sont souvent discutables. L'inconvénient c'est que si l'on veut consommer de façon durable cela va couter cher. d. Les quotas On ne va pas agir sur les prix mais sur une quantité fixée par les administrations. Les villes polluées comme Athènes et Milan on roule certain jour, interdiction de fumer dans les cafés, dire à une usine que sa production doit se limiter à tant de tonnes, tant de jours On a également les quotas de pêches, de chasse, L'avantage des quotas c'est que l'efficacité est directe. [...]
[...] Elles tournent autour des externalités donc autour du droit de propriété. Leurs points commun est que l'on va essayer de faire payer les agents. Toute pollution engendre un coût, on parle de coût social (pollution de l'air ( maladie pulmonaire). La pollution est aussi un phénomène qui se quantifie. Il y a des normes au niveau de la pollution de l'air. a. La consigne Le principe de la consigne c'est qu'on prend en compte que certaines consommations sont polluantes (les gobelets Le coût social est régler par la consigne. [...]
[...] L'économiste s'est intéressé à l'environnement à partir des années 90. Pourquoi parle-t-on de l'environnement comme problème économique ? L'environnement c'est globalement la nature (l'eau, l'air, Pendant longtemps, l'environnement était considéré comme un bien gratuit ou quasi- gratuit. L'air on commence à le payer de plus en plus. Or l'économie ne s'intéresse pas à ce qui est gratuit. Il a fallu que l'environnement ait un prix pour que l'économiste s'y intéresse. On leur a demandé de trouver le meilleur prix pour l'environnement. [...]
[...] On le voit également pour les caddies. Aux États-Unis, le système de la consigne est utilisé pour les cannettes. En Suède tous est pratiquement consigné comme les batteries de voitures, les piles électriques Cela ne s'applique qu'au contenant donc les utilisations sont limités. b. Les écotaxes On paye une partie pour le recyclage ou pour indemniser les victimes de la pollution : éco participation. Cela a un caractère obligatoire et c'est très efficace. Le problème de l'éco taxe c'est que cela pénalise ceux qui ont des outils de production ancien. [...]
[...] C'est quelque chose dont on bénéficie sans payer directement le prix. Les caractéristiques d'un bien public sont : Qu'il est non marchand, Qu'il a un caractère collectif Qu'il a un caractère obligatoire Qu'il est insaturé : on doit être sûr que tout le monde soit servi La pollution est aussi un bien public, il possède ces caractéristiques Le concept d'externalité Une externalité, c'est-à-dire extérieur au marché, non pris en compte par le marché. C'est un phénomène dont on peut bénéficier, souffrir ou pâtir, sans en payer le prix (sans être partie prenante) Lorsqu'on en bénéficie on appelle ça une externalité positive et lorsqu'on en souffre il s'agit d'une externalité négative. [...]
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