Sciences économiques, sciences sociales, économique, Pensées, courant de pensées, théorie néoclassique, école néoclassique, socialisme, Philosophie, loi universelle, microéconomie, valeur d'utilité, approche axiomatique, agent économique, producteur, consommateur, Productivité, équilibre concurrentiel, rôle de l'État, action publique, Keynes, théorie keynésienne, investissements, emploi, Chômage, déterminant de l'emploi, effet multiplicateur, fiscalité, socialisation
La pensée néo-classique est un courant économique dominant aujourd'hui, caractérisé par l'individualisme méthodologique, le marginalisme et l'équilibre général concurrentiel. Ce courant est né à la suite de la remise en question du libéralisme, la diminution de la confiance dans les systèmes économiques et l'influence des approches marxistes et néo-keynésiennes. Les économistes se sont professionnalisés et le nombre d'économistes a augmenté, mais le niveau global a diminué. La pensée économique s'isole des autres formes de pensées et se concentre sur les mathématiques, tandis que les auteurs sous cette école sont très nombreux et les contours flous.
Le courant keynésien est né en réponse à la Grande Dépression des années 1929-1937, où le chômage de masse a été traité par des politiques libérales qui ont laissé les salaires baisser. Keynes a expliqué la crise par une opposition entre riches et pauvres, où les riches ne consomment pas assez et épargnent plutôt que d'investir. Il a rejeté la théorie néo-classique en critiquant la loi de l'offre et l'équilibrage automatique par le marché, et en soulignant l'importance des effets macroéconomiques et des tendances psychologiques. Le courant keynésien a également légitimé la mise en oeuvre de politiques économiques visant à atteindre le plein-emploi et une sécurité sociale généralisée.
[...] Le producteur maximise son profit. La demande des agents économiques Les néo-classiques proposent une modélisation du comportement individuel. Le consommateur tente de maximiser son utilité sous des contraintes budgétaires. Il raisonne de manière rationnelle. La demande a plusieurs caractéristiques : Elle découle de l'utilité. Elle est décroissante par rapport au prix. Les préférences sont transitives. La modélisation de la demande : La consommation d'un bien génère de l'utilité que l'agent économique cherche à maximiser. Il entreprend cette action sous contrainte de ses revenus. [...]
[...] Salaire pour les travailleurs. Intérêts pour le capital mis à disposition. Rente pour ceux qui possèdent la terre. L'entrepreneur a pour objectif de maximiser son profit. Elle peut avoir lieu par l'ajustement des quantités aux prix fixés par le marché. En concurrence pure et parfaite, l'entrepreneur n'a pas prise sur le marché DONC s'adapte passivement. Le prix dépend de la productivité marginale des Fdp et de la concurrence. Les rendements sont considérés comme décroissants. L'équilibre concurrentiel L'équilibre concurrentiel correspond à un système de prix qui assure l'égalité de l'offre et de la demande pour tous les biens. [...]
[...] Professionnalisation ET « professoralisation ». Le nombre des économistes s'accroit, présence de professeurs d'économies dans les universités. Le niveau global des économistes diminue. Création de revues, d'associations, de centres de recherches. Le courant néo-classique est dominant aujourd'hui. Il présente une continuité des méthodes entre le 19e et aujourd'hui. Individualisme méthodologique. Marginalisme. Équilibre général concurrentiel. Contours flous et extension permanente. Auteurs très nombreux sous cette école. Les fondements théoriques La démarche de la TNC Démarche axiomatique : On ne raisonne plus en termes de concept, mais en termes d'axiomes. [...]
[...] Relations entre la propension à consommer, profits espérés et taux d'intérêt parfois simplistes. Le lien entre taux d'intérêt et la monnaie. Taux d'intérêts, pas une variable indépendante. Effets patrimoines plutôt qu'effets revenus. Le multiplicateur n'est pas aussi important que prévu. La notion de plein-emploi est définie de manière très vague. Le chômage frictionnel n'est jamais défini précisément. Critiques externes de l'approche keynésienne L'économie keynésienne est court-termiste. Elle ne tient pas assez compte de l'ouverture économique internationale. Évocation d'une synchronisation des politiques économiques assez floue. Application aux Pays en Développement impossible. [...]
[...] Les conséquences du multiplicateur. Anticipation des investisseurs et consommateurs ne sont pas les mêmes. L'ajustement se fait par les revenus, phases d'amplifications et de réductions. La « conjoncture économique ». L'équilibre de sous-emploi et les solutions. Contestation de l'idée que le chômage des années 30 est dû à la rigidité des salaires. Pour lui c'est une situation de déflation. Le rôle de l'État Volet économique et social L'État doit suppléer l'investissement des investissements privés par des investissements publics. L'effet multiplicateur doit permettre au budget de l'État de se réguler sur le long terme. [...]
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