Changement social contemporain, Pays Développés, Economie de Marché, développement économique, mobilité sociale, mutations démographiques
Diminution de la mortalité régulière et rapide : 19 pour mille (début du siècle) pour 9 maintenant.
Hausse de l'espérance de vie : de 46 (hommes) et 49 (femmes) à 74 et 82.
Causes : antibiotiques, traitement des maladies…
3 Causes des écarts entre hommes et femmes :
Environnement : conditions de travail ; éducation : alcoolisme, tabagisme ; comportement : vitesse
L'image de l'homme fort génère un rapport négatif aux soins, de plus, les congés peuvent conduire au chômage surtout chez les ouvriers donc ils s'abstiennent.
Inégalité également sociale devant la mort : les plus protégés : profs, ingénieurs, professions libérales, donc les plus diplômés. Les moins protégés : ouvriers, agriculteurs : travaux manuels.
[...] Le changement intervient d'abord en ville grâce aux étudiants, le niveau de diplôme joue beaucoup. Il faut voir les récentes mutations comme un retour à la normale, car la période 1920-1960 fut exceptionnelle et unique en termes de structure familiale. Autrefois, dans l'Ancien Régime, on prônait la diversité, comme aujourd'hui, et non un modèle type avec des rôles très différenciés entre hommes et femmes. II/ TRANSFORMATIONS DES NIVEAUX ET DES MODES DE VIE UNE ELEVATION DES NIVEAUX DE VIE Le niveau de vie est déterminé par l'ensemble des biens et services qu'un individu ou un groupe peut consommer. [...]
[...] Le 3ème âge : Le vieillissement de la population entraîne l'augmentation des dépenses de retraite. On prévoit même la domination quantitative de cette catégorie pour les décennies à venir. C'est pourquoi c'est un grand débat, avec des réformes (Fillon). Aujourd'hui, être retraité ne signifie plus être pauvre. Les retraites accentuent les inégalités malgré le système par répartition, car de toute façon, le système par capitalisation l'emporte. Ce nouveau phénomène de vieillissement met en avant le potentiel économique de cette classe tournée vers les loisirs, le tourisme, les associations. [...]
[...] La rigidité sociale s'est assouplie de 1953 à 1993 et ça ne s'explique pas que structurellement. En des hommes avaient le même emploi que leur père, contre 35% en 1993 ! Il y a de moins en moins reproduction sociale : changements de position sociale fréquents : 2/3 des Français de 40 à 59 ans ont changé de catégorie, contre en 1977. Mais reproduction quand même : 9/10 agriculteurs sont fils d'agriculteurs en 1993, + de des ouvriers sont fils d'ouvriers. [...]
[...] Les tables de mobilité : un tableau à double entrée qui nous renseigne sur la position sociale du père et du fils à un moment donné. Il permet donc d'étudier la transmission ou le changement de statut social d'une génération à l'autre : mobilité intergénérationnelle. On fixe la position sociale du père et du fils en fonction de la profession exercée à 49-50ans. Cela permet d'éliminer la mobilité intragénérationnelle. Pour les inactifs on prend en compte la dernière activité exercée. On utilisera les tables faites en 1993 par l'INSEE. On peut évaluer l'hérédité sociale (table de destinées) dans le sens du père vers le fils. [...]
[...] Causes : différences ville-campagne se réduisent avec la diffusion du mode de vie urbain, le dynamisme des villes fait croître les populations des zones rurales environnantes, ces dernières deviennent des zones périurbaines qui engendrent la croissance urbaine. Avantages : nombreux commerces et infrastructures, sans les nuisances des grandes villes. INTERNATIONAUX : 1914-18 : afflux historique de migrants pour remplacer les ouvriers, qui se poursuit avec les pertes de la guerre, la journée de travail à 8h, et l'adoption. Entre 1921 et 1931 : 2 millions d'étrangers sont accueillis. Avec la crise de 1929, on règlemente l'immigration, on incite les polonais à partir. [...]
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