Approche macro-économique, équilibres de l’économie, déséquilibres de l’économie, analyse en économie, balance des paiements
Micro-économie
C'est un comportement individuel des consommateurs et des producteurs. Cela correspond à une vision néo-classique (introduisent les mathématiques dans l'économie).
Macro-économie
Ce sont des grandeurs synthétiques globales comme le PIB (= somme des VA de toutes les branches d'une éco), l'investissement brut,…
La naissance de la comptabilité nationale établit les comptes de la nation, système élargi de la comptabilité nationale : le Système Elargi de la comptabilité nationale. Système qui comporte 4 tableaux :
- TEE : économie d'ensemble
- TES : entrées/sortie de l'éco
- TEI : échanges interindustriels
- TOF : opérations financières
[...] Les cycles économiques désignent ce retournement de situation au point de tangente de la courbe et comme le retournement est brutal : crise économique. La crise des années 30 se caractérise par 4 éléments : - baisse production - baisse prix nominaux - hausse du chômage - baisse vol extérieur La crise de pétrole en 1973 se caractérise par : - production ne baisse pas - prix augmentent donc inflation - hausse du chômage donc stagflation - hausse du commerce extérieur Théories du déséquilibre Théories marxistes Selon Marx le système capitaliste est déséquilibré naturellement et en permanence. [...]
[...] Le cycle court de Juglar (économie Française) est un cycle des affaires qui dure 7 ou 13 ans. Le cycle court de Kitchin (économie américaine) : 3 ans et demi, complémentaire des deux autres analyses. Ces cycles expliquent les crises économiques depuis 1929. Les crises économiques Une crise est un retournement de tendances qui a pour origine une faiblesse du progrès technique et des innovations. Une crise économique a plusieurs détonateurs : hausse prix des matières 1ères, guerres, épidémies, recul de l'innovation. [...]
[...] Balance des paiements / comptes extérieurs est constituée de 3 balances : - balance commerciale ou des transactions courantes (Formule : - balance des transactions invisibles (tourisme, transfert de revenus), - balance des capitaux : court terme (endettement bancaire), moyen terme (investissements de portefeuille), long terme (IDE) Depuis les classiques, on sait que le prix a des effets sur le rééquilibrage de la balance générale : si les prix baissent : excédent des devises supplémentaires donc augmentation de la masse monétaire du pays exportateur, masse monétaire donc augmentation du prix à l'intérieur du pays. Cela provoque de l'inflation. Mouvements du taux de change : selon les néo-classiques, l'équilibre de la balance des paiements se réalise grâce à la variation des taux de change. Si le déficit de la balance commerciale devises > les monnaies étrangère vont s'apprécier par rapport à la monnaie nationale. Si la balance commerciale est excédentaire : l'appréciation de la monnaie nationale par rapport à la monnaie étrangère. [...]
[...] Cela correspond à une vision néo-classique (introduisent les mathématiques dans l'économie). Macro-économie Ce sont des grandeurs synthétiques globales comme le PIB somme des VA de toutes les branches d'une éco), l'investissement brut, La naissance de la comptabilité nationale établit les comptes de la nation, système élargi de la comptabilité nationale : le Système Elargi de la comptabilité nationale. Système qui comporte 4 tableaux : - TEE : économie d'ensemble - TES : entrées/sortie de l'éco - TEI : échanges interindustriels - TOF : opérations financières Equilibres et déséquilibres de l'éco Equilibre classique Basé sur analyse d'Adam Smith, seul le marché permet d'atteindre l'équilibre. [...]
[...] Equilibre keynésien Keynes : chômage est la priorité de l'économie. L'équilibre classique n'est pas vérifiée, il met en évidence l'équilibre du sous-emploi avec un équilibre sur le marché des balances. Le niveau des salaires n'est pas déterminé par le marché, mais par d'autres éléments : négociations, revendications, syndicats et autres pressions. Donc si les salaires nominaux ont possibilité d'augmenter selon l'état du marché du travail, effet de cliquet : s'il y a hausse des salaires, ils ne pourront plus diminuer sinon il y a un risque de mouvements sociaux donc le sous-emploi est inévitable. [...]
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