Analyse monétaire, avantages, inconvénients, considérations économiques, gain à l'échange
Dans le prix relatif, il y a deux biens différents qui interviennent. Le prix relatif est différent du prix en monnaie. La comptabilité n'existe pas pour les prix relatifs car il n'y a pas de moyen d'échange général.
Analyse de statistique comparative.
Prix en monnaie
Courbe d'indifférence
Point commun
Préférences
Taux d'échange
Taux d'échange convenu : gain à l'échange
Comptabilité
Les considérations économiques et économiques s'expriment de la même façon.
[...] On peut dire souvent que le gain de l'échange quand on part du point commun est dérisoire comparé au coût de l'échange qu'il faut supporter à vouloir faire tel ou tel échange. Cette considération amène à s'interroger sur les moyens de l'échange. Il semble logique de mettre en parallèle monnaie et le moyen d'échange. Met le moyen d'échange dont il est question est en fait le moyen de l'action de l'échange. Et ce moyen n'est pas pris en considération par le modèle. [...]
[...] La quantité de monnaie en circulation va permettre de faire des transactions. Il y a une rotation globale de la monnaie entre les personnes juridiques. Si à un instant la quantité de monnaie en circulation n'est pas nécessairement employé, cette quantité de monnaie va être transféré de personne à d'autres personnes, soit en nombre supérieur, soit en nombre inférieur. En moyenne, il y a un certain montant de monnaie qui restera échangé entre les différentes personnes juridiques de la population. [...]
[...] Il ne raisonne pas en termes d'action d'échanges coûteux. A un instant il se trouve que la population va acheter et vendre. La quantité M de monnaie se retrouve sous forme de biens non monnaie à l'instant T. Elle se symbolise par PiXi. Les différents objets i en quantité échangés au prix monétaire P. Fisher dit que la quantité de monnaie est égale à cette sommation des différentes quantités monétaires. P = (P1 P2 Pn) X = ( X1 X2 X3 Xn). [...]
[...] m/p : demande de monnaie, demande d'encaisse réelle. La vitesse de la monnaie en termes de revenu n'est rien d'autre que l'inverse de la demande de monnaie en termes d'encaisse réelle et de revenu réelle. Friedman admet que les variations de la quantité de monnaie ont des conséquences sur le revenu réel ou sur les prix associés à ce revenu réel. Friedman admet que la quantité de monnaie a une influence sur la vitesse de circulation de la monnaie en termes de revenu. [...]
[...] Il manque cependant la notion symbolisée par la vitesse de circulation de la monnaie. VELOCITY. La vitesse correspond au nombre de fois moyen en terme statistique que les personnes juridiques de la population échange les biens qu'ils possèdent. Cette vitesse de circulation. VM = PT PT= les échanges effectués à chaque instant dans la période introduite. Derrière les échanges qui sont considérés, se cachent les échanges habituels, quotidiens des gens de la population. Cela correspond à une moyenne des prix pratiqué par les personnes de la population. [...]
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