Alferd Marshall, fiche d'économie d'1 pages
La pensée d'Alferd Marshall, fondateur et principal théoricien de l'école de Cambridge apparaît comme le trait d'union de la synthèse entre les idées des grands économistes classiques britanniques (Smith, Ricardo, Mill) et l'économie contemporaine. Il expose quelques grandes hypothèses libérales (la loi des rendements décroissants, l'offre est au centre de l'economie) . En premier lieu, la concurrence parfaite entre entreprises est la situation économique la plus efficace au regard de la quantité produite à un prix déterminé. Deuxièmement, la concurrence ne peut se réaliser parfaitement si l'État intervient dans l'économie. Troisièmement, le système s'auto-équilibre au travers de la croissance car le jeu de la répartition du revenu est en rapport avec les services fournis par chacun. Ainsi le capital comme le travail est rémunéré à sa juste valeur qui est égale a sa productivité marginale.
[...] Mais cette considération fut remise en question par Clark et Sraffa en considérant l'hypothèse de concurrence imparfaite. C'est en fait l'imperfection des marchés qui explique l'existence d'un équilibre des échanges. Ainsi, Marshall s'est attaché à l'étude des équilibres partiels. En ce qui concerne les monopoles, il démontre que leur activité n'est pas nécessairement nuisible à l'intérêt général. Généralement, ils sont les limites à ne pas franchir pour ne pas provoquer l'intervention des pouvoirs publics ou la réaction d'autres firmes. Ces considérations seront le point de départ des théories de la concurrence imparfaite. [...]
[...] En premier lieu, la concurrence parfaite entre entreprises est la situation économique la plus efficace au regard de la quantité produite à un prix déterminé. Deuxièmement, la concurrence ne peut se réaliser parfaitement si l'État intervient dans l'économie. Troisièmement, le système s'auto- équilibre au travers de la croissance car le jeu de la répartition du revenu est en rapport avec les services fournis par chacun. Ainsi le capital comme le travail est rémunéré à sa juste valeur qui est égale a sa productivité marginale. Pour expliquer le problème posé par la décroissance continue des coûts, Marshall utilise la notion d'"économies externes". [...]
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