La pauvreté dans l'abondance, Keynes, traité de Versailles, crise de 29, démographie
Crise de 1929 : le capitalisme pourra-t-il s'en remettre ? Importance de la demande, plus que de l'offre. Crise 29 ? Son origine serait la surproduction. Le Système ne peut s'auto-ajuster. L'Intérêt individuel n'est pas toujours compatible avec l'intérêt collectif. Crise = Problème entre épargne (S) et investissement (I). Le marché est inefficace, car l'information future est non prévisible ; il y a de l'incertitude, mais les marchés sont très utiles pour allouer S et I. Les classiques disent que le partage entre S et consommation (C) se fait selon le taux d'intérêt (TI).
[...] Chapitre 12. L'I est lié à l'incertitude. La monnaie peut être désirée pour elle-même (spéculation, précaution, transaction) II) incertitude pour l'avenir donc les anticipations sont incertaines, ce qui compte c'est surtout l'opinion générale. TI = prix de la monnaie mais aussi un moyen de jauger la préférence pour la liquidité des agents. III) c'est le TI qui détermine l'efficacité marginale du K et non l'inverse comme le disent les classiques. Chapitre 13. Démographie = une composante de la croissance, de l'activité. [...]
[...] Importance de la demande, plus que de l'offre. Crise 29 ? Son origine serait la surproduction. Le Système ne peut s'auto-ajuster. L'Intérêt individuel n'est pas toujours compatible avec l'intérêt collectif. Crise = Problème entre épargne et investissement Le marché est inefficace, car l'information future est non prévisible ; il y a de l'incertitude, mais les marchés sont très utiles pour allouer S et I. Les classiques disent que le partage entre S et consommation se fait selon le taux d'intérêt (TI). [...]
[...] II) théorie de la préférence pour la liquidité = une pensée de Keynes. Pour les classiques, boom = dangereux car I sans solidité derrière donc spéculation puis crack : il faut S pour I car sinon ce n'est qu'une demande artificielle ne tenant que si le TI restent indéfiniment bas. Conclusion : 30 glorieuses : la pensée Keynes s'impose mais la stagflation de 1970 la remet en question avec le succès des monétaristes : contenir l'inflation en dirigeant la masse monétaire. [...]
[...] Au bout d'un moment S baisse, gouvernement fait un déficit budgétaire pour tenter de relancer l'activité. La Q ne peut descendre encore et repartira ensuite. IV) comment refaire de l'I ? Baisse TI et confiance. Confiance revient que si profit hausse et lui-même que si I reprend. Il faut aussi une hausse des prix car déflation = cercle vicieux, risque déflation concernant les salaires donc moins de consommation, hausse dette On peut agir : restaurer la confiance, politique grands travaux (déficit budgétaire), baisse TI : mais parfois insuffisant donc reprise longue. [...]
[...] Besoin d'une réforme sociale. Il est en faveur du libre échange. Parti travailliste = lutte classe. Conservateur = immobile. Libéral = bien aux yeux de Keynes, mais doit se renouveler comme un centre entre gauche sociale et droite libérale. II) Keynes pense que le gouvernement change : décentralisation, délégation, nouvelles tâches. Il faut régler certaine questions pour la société : Question mœurs, des femmes : arrêter les tabous, en parler pour attirer l'électorat car débat au cœur et impact économique de ces enjeux. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture