Histoire de la pensée économique : Adam Smith

Résumé du document

Histoire de la pensée économique : Adam Smith, cours de 14 pages.



C'est le père de l'économie politique moderne et du libéralisme économique moderne. Avec Adam Smith (1723-1790), s'ouvre une nouvelle période. Smith n'est pas un conseiller du roi ou du prince, il sera un économiste universitaire. C'était un professeur à l'université de Glasgow où il a occupé une chaire de philosophie politique et morale. Pour ces contemporains, Adam Smith était un philosophe et non un économiste. Il n'avait rien à gagner ou à perdre dans ses pensées, et avait ainsi une certaine indépendance. C'était un pur intellectuel qui pouvait dire ce qu'il voulait car n'avait aucun lien avec une corporation ou autre. C'était quelqu'un de brillant (il est allé à la fac à 14 ans !) qui se passionnait pour les maths et la logique. Il n'a cependant pas mathématisé son discours, et cela car les méthodes de raisonnement fonctionnent très bien sans. David Hume (1711-1776) était un philosophe des lumières écossait qui a influencé la pensée de Smith. Smith publiera une ?uvre essentielle intitulé « la théorie des sentiments moraux » (1759) et une autre intitulée la « Richesse des nations » (1776).





Chapitre 1 : Le contexte historique

Chapitre 2 : Adam Smith, fondateur d'une économie politique moderne

Extraits

[...] Cela montre ainsi un revirement dans la pensée de Smith. Cependant, il n'a pas totalement réfuté sa théorie des SM. Ensuite, il y a la thèse du cloisonnement étanche. Cette thèse signifie qu'il existerait une sphère économique et une sphère sociale qui sont ensemble mais séparées par une cloison étanche. Ces deux sphères sont donc indépendantes. Economie Social TSM RDN Cloison Une troisième explication consiste à dire que Smith cherche à considérer l'économie comme une activité autonome mais pas indépendante du social. [...]

[...] Cette théorie va se construire autour de problématiques et va approfondir la réflexion d'Adam Smith (les joueurs qui respectent les règles déterminés par le jeu. Le jeu fixe des buts et des objectifs. Ce jeu admet enfin des matrices des paiements (gain et perte des joueurs)). Ce jeu présente des jeux qui présentent des personnes dans des situations particulières (théorie des prisonniers qui expose un dilemme entre deux personnes prisonnières séparées à qui on dit qu'ils sont suspectés et que s'ils coopèrent en dénonçant le deuxième prisonnier ils seront libérés.). [...]

[...] Elle est la plus grande puissance commerciale d'Europe. Ce développement a été particulièrement utile au développement industriel. Cette RI a pu être permise par une certaine Révolution agricole, ainsi que d'une croissance du commerce intérieur (l'augmentation des échanges marchands). Ainsi, on ne peut pas séparer les activités agricoles, commerciales et industrielles. Cette révolution Agricole va apporter des capitaux. C'est cet apport des capitaux qui permet le développement économique qui pourra permettre la révolution industrielle. La main d'œuvre à bon marché est aussi un élément nécessaire au développement industriel. [...]

[...] Cette compétitivité permet la baisse des prix, la hausse de la consommation et tous les actes vertueux qui suivent. Si on interdit cette concurrence, on incite plus aux entreprises de donner le meilleur d'elle même et ne permet ainsi pas la RDN. Ainsi, si on veut obtenir le plus de richesses possible, il faut mettre en place le laisser faire, laisser passer La spécialisation entraine un apprentissage des entreprises. Une entreprise va acquérir des compétences d'activité, va pouvoir bénéficier des expériences qui va pouvoir permettre un accroissement d'échelle des activités. [...]

[...] La pensé est indépendante de la manière empirique sur lesquelles on fonde nos expériences. Pour acquérir une expérience je dois passer par moi, appris quelque chose de relatif. J'ai utilisé des compétences, des facultés sensorielles qui dépendent de moi. La même expérience réalisé par un autre fondera une connaissance relative différente. Quand je modifie ma façon d'observer empiriquement le monde, je change la conclusion. Pour pouvoir rentrer en interaction avec les autres, l'homme passe par lui-même. Nous pouvons penser le monde mais nous ne pouvons pas connaitre le monde tel qu'il est s'il n'est pas nous. [...]