Adam smith - économie classique
Adam Smith est le premier véritable économiste connu dans l'Histoire. Sa théorie
est la théorie Classique, au fondement du courant économique Libéral.
[...] Une sorte de balance entre ceux qui vendent et ceux qui achètent. C'est très simple à comprendre : la rareté d'un bien fait sa valeur. Ainsi, s'il y a plus de gens à vouloir acheter, qu'à vouloir vendre un produit, le prix de ce produit augmente. Au contraire, le prix du produit baissera quand il y aura plus de gens voulant le vendre que l'acheter. A partir de là, on peut entrer dans la théorie classique défendu par Smith : selon lui, et les libéraux, le marché (une zone fictive où l'on imagine que tout les échanges économiques se réalisent ; a bourse souvent, mais aussi les petits échanges du quotidien L'ensemble de tout les échanges forment le marché) s'autorégule et, à long terme, s'équilibre tout seul sur un prix parfait des produits, le prix d'équilibre. [...]
[...] En effet, tout faire pour une vraie économie de concurrence signifie que l'Etat ne doit plus intervenir dans l'économie pour aider des entreprises en difficulté, et ne doit plus aider ou diriger des entreprises en monopole (EDF, SNCF Faut-il aider (sous-entendu l'Etat) les entreprises mises en difficultés par la concurrence, et si oui, dans quelle mesure ? C'est la principale question que l'on peut opposer à la théorie Libérale en ce sens. Certes, cela mettrait en partie à mal l'équilibre des prix, en mettant à mal l'économie de concurrence pure et parfaite, mais dans les cas criants de crises économiques, l'Etat doit il interférer dans l'économie, au risque dans un premier temps de déséquilibrer le marché, et les prix ? Smith et les libéraux pense que non. [...]
[...] Il est orphelin de père dès la naissance. Il étudie à Glasgow de 1737 à 1740. Il part ensuite étudier à l'université d'Oxford. Choisissant une carrière d'universitaire, Smith obtient à vingt-sept ans la chaire de logique, à l'université de Glasgow, et plus tard celle de philosophie morale. Smith devient relativement connu à Glasgow. Il participe à des cercles intellectuels, joue au whist le soir et est apprécié des étudiants. Ensuite, il devient précepteur d'un jeune aristocrate, ce qui lui permet de visiter l'Europe, et de rencontrer des auteurs comme Voltaire ou François Quesnais, qui vont influencer son œuvre. [...]
[...] L'origine de la richesse des nations. Le travail productif, cela suppose qu'y a du travail qui est crée par des richesses selon Smith. Pour Smith le véritable travail productif est celui qui crée des biens, des choses concrètes. Il exclue la production de services (travail domestique Ce travail productif suppose aussi qu'y ait du capital, c'est pour cela que pour Smith suppose de l'investissement. Pour Smith, l'épargne est une vertu. Ce qui va à l'encontre de la pensée de Keynes. [...]
[...] L'eau ne permet pas de procurer d'autres biens. Valeur en échange c'est la véritable valeur économique des marchandises. Cette valeur a été incorporée au travail pour la production de ces biens. la valeur des marchandises provient du travail : valeur en usage, valeur en échange. Par exemple pour lui l'eau a une valeur en usage mais pas une valeur en échange car l'eau était en abondance. En effet cette valeur en usage n'appréhende pas la réelle valeur des marchandises. L'eau ne permet pas de procurer d'autres biens. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture