Adam Smith, fondateur d'une économie politique moderne, fiche d'économie de 10 pages
Adam Smith avait une pensée moderne aussi par le fait du principe de l'autonomie de l'économie. Les mercantilistes envisageaient l'économie par rapport à la politique qui lui était supérieur. Chez les physiocrates, l'erreur était que ces lois de la natures du fonctionnement économiques étaient dues à une intervention divine. AS lui considère une autonomie pure et simple de la sphère économique par rapport à toutes les autres sphères d'activités humaines tout en prenant en considération la « main invisible ».
Section 1 : La métaphore de la main invisible et le caractère moralement acceptable de l'activité économique.
Section 2 : La sacralisation de l'autonomie de l'activité économique
[...] La notion classiques offre 3 connotations : Les classiques sont respectables car sont incontournables et leur pensée doit se connaître parfaitement avant de pouvoir critiquer. Ensuite, un classique est incontournable mais est un peu dépassé. Enfin, il y a le caractère ou l'aspect doctrinal du classicisme (ce qui caractérise les positions académiques, ce qui doit être fait à un moment donné). Chapitre 1 : Les grandes caractéristiques communes de l'économie classique Les grands économistes classiques sont Malthus (1766-1834), Ricardo (1772-1823), John-Stuart Mill (1806-1873). [...]
[...] Ainsi, il y aurait une immigration des Anglais au Portugal car les Anglais n'ont plus de quoi produire. En ceci, il casse la théorie de AS car elle serait dénuée de sens. En ceci, il dira que les pays doivent se spécialiser là où ils ont un avantage en cout comparatif, et non plus en avantages comparatifs. Dans l'exemple, le bien le moins cher à produire (et donc le moins cher à acheter) est donc celui dans lequel le pays doit se spécialiser. [...]
[...] Adam Smith n'a-t-il pas simplement enfoncés des portes ouvertes ? Quoi de novateurs ? Il a formulé précisément les lois du marchés , mais ce n'est pas l'essentiel. De bois Guilbert en opposition au colbertisme, possède quelque précisions sur le marché. Son apport et peu être plus technique mais pas révolutionnaire. Son apport essentiel consiste à nous faire passer d'une étude des marchés à une étude du Marché. Les marchés étaient une d'activités fragmentées, marginales et contrôlées dans les sociétés jusqu'à Adam Smith, qui n'obéissait pas aux lois du marché. [...]
[...] L'homme dépendant du contexte social dans lesquels il vie. Kant : Les lumière ont inventé l'individu moderne qui est un monde à lui tout seul. Il est bien sur dépendants d'interaction avec les autres et en même temps il est à lui seul un monde. Cette conception nous fait débouché sur une conception égocentrique de l'être humain. Nous somme au centre de notre propre monde, nombril de l'univers. Un monde autour duquel gravite le reste du monde. La pensé est indépendante de la manière empirique sur lesquelles on fonde nos expériences. [...]
[...] C'est pourquoi on présente AS comme le fondateur de l'économiste classique. Ensuite , tous se revendiquent comme étant des économistes libéraux (un libéralisme pessimiste lorsqu'il n'est pas cynique). Il y a une idée implicite et explicite chez les classiques est que après une phase d'augmentation, l'économie atteindra une forme d'état stationnaire (Mill), ensuite, il y a la loi des rendements décroissants (la pauvreté est un élément nécessaire au capitalisme, à la régulation de la croissance de la population en fonction des capacités de la nature (Malthus) et qu'il ne faut pas créer de loi sociale pour les pauvres car cela serait néfaste à la société. [...]
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