Problématiques liées à la zone euro, fiche d'économie de 2 pages
Lors du passage à l'euro des critères ont été regardés avec souplesse notamment en Allemagne et en Belgique. On a appliqué des critères en tendance. Par ex, si la dette baisse, ça va.
Y'a eu un débat sur la question de la stabilité du change. Stabilité de fait ou de droit ? La Finlande n'était pas membre du SME mais comme elle respectait en 98 tous les autres critères, on a considéré que la stabilité de fait du mark finlandais contre le mark allemand permettait de considérer que la Finlande respectait le critère de change. Si un jour les Anglais veulent entrer ils ne voudront probablement pas lier la £ à l'?. Faudra appliquer alors au R.U la « jurisprudence » finlandaise.
1.1 retour sur critères de convergence et conditions d'entrée :
1.2 La zone euro est encore très hétérogène
1.3 La gestion de l'hétérogénéité
1.4 L'euro est-il inflationniste ?
[...] Faudra appliquer alors au R.U la jurisprudence finlandaise. Pour avoir une taille critique de la zone euro il fallait mettre tous les pays fondateurs du traité de Rome : c'est pour cela qu'on a été assez souples. Ajh on est plus stricts car la BCE ne souhaite pas de problèmes à la régulation monétaire dans la zone La zone euro est encore très hétérogène On pensait que la convergence nominale (inflation) et réelle (croissance) allait mieux se faire. Ajh on constate que cette convergence s'est peu produite : les taux d'inflation dans la zone euro sont encore très hétérogènes. [...]
[...] Son financement pose des questions. Faudrait un impôt européen se substituant à des impôts nationaux. Nous avons une marge avant d'être un Etat fédéral. Aux USA le budget de Washington est L'euro est-il inflationniste ? Ce qui est en cause c'est l'arrivée des billets et des pièces en 2002 et non l'euro financier installé en 1999. Une majorité de citoyens en veulent à l'euro : mais débat entre les études et les ressentis. Le mesuré est en deçà du ressenti. [...]
[...] En partant de cette idée, des économistes américains ont critiqué l'arrivée de la zone euro. Friedman a critiqué l'euro car selon lui la mobilité des personnes ne fonctionnait pas. Ressemble + à un argument politique. Quand le $ a été introduit au 18è siècle aux USA la condition de mobilité des personnes n'était pas aussi performante. De plus cette mobilité n'est pas une donnée statique, il est possible de l'améliorer. Cela pose des questions sur la sécu la retraite dans la zone euro et la transférabilité de ces droits. [...]
[...] Ex mai 68 : en France, choc salarial. C'est un choc asymétrique. La France l'a géré par la dévaluation du Franc en aout 1969. Dévaluation réussie à froid d'environ 18%. La France rétablit sa compétitivité/prix. Ajh ce sont les autres politiques qui doivent prendre le relai. Le rôle de la mobilité des personnes : plus elle est forte mieux on gère les chocs asymétriques selon Mundell. Si on prend l'exemple des USA avec un choc sur la construction à l'est. [...]
[...] Critère du taux d'intérêt à long terme : ne pas dépasser de + de 2 points le tx d'int à LT moyen dans les trois pays les moins inflationnistes. Le taux de change par rapport à l'euro doit être stable pendant deux ans avant l'entrée. Une banque centrale indépendante Lors du passage à l'euro des critères ont été regardés avec souplesse notamment en Allemagne et en Belgique. On a appliqué des critères en tendance. Par ex, si la dette baisse, ça va.Y'a eu un débat sur la question de la stabilité du change. Stabilité de fait ou de droit ? [...]
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