L'économie sociale et solidaire est un terme générique utilisé pour désigner un ensemble de structures fondées sur deux principes : celui de la solidarité et celui de l'unité sociale...
[...] Car ces deux vies sont intimement liées, elles sont un peu comme des vases communicants. Quand l'une va, l'autre va et inversement. Tout comme lorsque l'une se dégrade, à long terme, cela se répercute invariable sur l'autre. Mais ce rapport ouvre une autre question. Car dans ce cas, on est légitimement en droit de se demander si l'économie sociale et solidaire peut se suffire à elle-même non pas dans l'amélioration de la vie au travail, mais dans son maintien dans le temps. [...]
[...] Ce qui nous inscrit dans un mouvement et dans un dynamisme qui contribuent, eux aussi, à améliorer la qualité de vie au travail. Cette fierté, ce sentiment d'être utile et d'accomplir des choses plus grandes que soi et qui contribue au bien commun, n'est pas le seul levier de l'amélioration de la qualité de vie au travail au sein de l'économie sociale et solidaire. Il y a également un autre facteur d'une importance capitale : c'est celui du climat social et des interactions qui vont en découler et régir les rapports entre les salariés. [...]
[...] Lorsque cela se produit, les structures sont obligées de s'adapter pour survivre et elles sont alors amenées à réaliser des économies de fonctionnement. Soit en adaptant les ressources, ce qui se traduit fréquemment par la diminuant du nombre de personnes qu'elles emploient, soit en mutualisant leurs organisations par le biais de mécanismes de fusion et d'absorption. Synonyme généralement pour cette deuxième option, de doublon de poste et de nécessité de rétablir et de multiplier les intermédiaires dans le système de fonctionnement et dans le système décisionnaire. Il est alors quasiment impossible de préserver la qualité de vie au travail dans ces conditions. [...]
[...] Tout comme pour les structures dont nous venons de parler, les S.C.O.P. et les coopératives ont-elles aussi cette aura d'organisme à but utilitaire contribuant et œuvrant pour le bien commun. Rendant ainsi, ceux qui y exercent une activité professionnelle, fière et heureux d'évoluer dans ce domaine et pour ces entreprises. Et à leur tour, ces personnes profitent de l'effet naturel et immédiat d'amélioration de la qualité de vie au travail. Mais les S.C.O.P. et les coopératives ont une corde supplémentaire à leur arc. [...]
[...] Puis, il nous faudra déterminer les principales attentes et facteurs en matière d'amélioration de la qualité de vie au travail que peuvent avoir les salariés. Pour ensuite être en mesure de proposer des solutions pertinentes et efficaces. Les six piliers de la Q.V.T : Les facteurs d'amélioration de la Q.V.T selon les salariés : Amélioration de l'environnement de travail. Grâce à cet aperçu des attentes des salariés, nous pouvons observer que l'ambiance au travail et les relations entre les collègues est l'un des facteurs, si ce n'est celui, auquel les salariés accordent le plus d'importance. [...]
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