La Canada a choisi de réformer son système économique au milieu des années 90. Quel succès ? Quel échec ?
[...] Mais cette dévaluation lui a permis de gagner des parts de marché à l'exportation et donc peut être de conserver de nouveaux partenaires d'échange. Le Canada maintenant veut définir sa propre stratégie monétaire sans être sous influence mais a productivité faible a été masquée par la dévaluation monétaire à court terme. La productivité et la croissance : En théorie, la croissance est fortement influencée par la productivité de l'industrie, plus la productivité est forte plus le tissu industriel participera fortement à la croissance. [...]
[...] En considérant que la concurrence est source de dynamisme et la concurrence détruit le statut de monopole de fait. Sachant que la hantise du gouvernement canadien est l'inflation, la concurrence doit améliorer la situation par rapport à ce danger. La recherche de l'immigration : La politique de l'immigration est considérée comme une composante de la stratégie canadienne destinée à stimuler son capital humain. Actuellement, la plupart des immigrants sont admis pour leurs compétences, l'immigration est généralement vue d'un œil favorable : ses avantages économiques potentiels comprennent les retombées positives d'un large regroupement culturellement plus diversifié de capital humain, la possibilité de remédier aux pénuries de compétences et de lisser les charges budgétaires induites par le vieillissement démographique. [...]
[...] L'économie du Canda témoigne d'une capacité nettement améliorée à résister aux chocs. Le grand défi va consister à devenir un lieu où il est plus intéressant de vivre, de travailler et d'investir. Les règles fiscales sont en mutation, le déficit public se réduit, la politique de l'emploi commence à porter ses fruits, seul l'intégration de l'immigration et la productivité marquent le pas, évidemment le domaine de la santé est le futur objet de tous les maux. Le chômage, il a été réformé par une restriction des aides sociales, une incitation au travail et une forte politique de réinsertion. [...]
[...] Quand le Canada a réformé, sa population a accepté certains sacrifices. La Canada rencontre une perspective de plein emploi et poursuit sa logique d'immigration choisi. Les chiffres économiques actuels : Des objectifs atteints et des prévisions pour cette année qui laissent espérer une amélioration : La croissance du PIB a atteint ce résultat est moins bon que l'année précédente. L'économie canadienne a créé emplois nets en 1 an : ils débauchent à l'étranger. Le taux de chômage est de chiffre en forte baisse mais qui est élevé pour les spécialistes de conjoncture, le taux de chômage incompressible est aux alentours Le solde commercial s'est développé très fortement par la hausse des exportations sur le dernier trimestre). [...]
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