Tout d'abord, le taux d'intérêt est le rapport entre l'intérêt annuel et la valeur d'une somme empruntée ou prêtée. On peut distinguer 2 sortes de taux d'intérêt. En effet, la charge financière réellement supportée par l'emprunteur et la rémunération effective perçue par le prêteur ne dépendent pas seulement du taux d'intérêt nominal mais aussi de l'inflation, la hausse des prix ayant pour effet de diminuer la charge de remboursement de l'emprunteur (taux d'intérêt réel) (...)
[...] Conclusion On peut noter une indéniable interaction entre politiq éco et i et plus précisément entre pol monétaire, pol budg et i. Tout d'abord, le i influence ces pol que ce soit dans la théorie comme dans la pratique. Il est apparu par exemple que la pol monétaire de la BCE se retrouvait mise en cause face aux pol de dévaluation de la monnaie d'autres pays, ou que (ex. Chloé). Cependant, le i est également un instrument de la pol monétaire que ce soit en période de croissance comme de récession. [...]
[...] Concernant la crise, illustration principale de cet exposé, elle ne durera pas indéfiniment, puisque des signes de reprise apparaissent petit à petit, et avec eux, un réel front de concertation, de débat international au sujet des dysfonctionnements du système financier. Le point de départ est le G20 qui s'est tenu à Washington le 15 novembre 2008. Chefs d'Etat et de gvt y onf fixé toute une série d'actions à mener comme celle d'une réforme des institutions financières. Il apparait aux yeux de beaucoup une nécessité de contraindre plus ces institutions financières, par exemple. [...]
[...] Ici, nous traiterons du taux d'intérêt, qui, s'il est instrument, est aussi une cause. Les politiques économiques vont-elles de concert avec le taux d'intérêt ? influence du taux d'intérêt sur les politiques économiques 1. sur les politiques monétaires a.) théorie Nous allons tout d'abord faire un bref récapitulatif du modèle IS-LM ou Hicks-Hansen car il est représentatif de cette influence. On distingue généralement 3 zones dans le schéma IS-LM : La zone keynésienne dont nous parlerons dans le deuxième point de cette première patie. [...]
[...] Mais, à partir de 2009, les situations économiques ont évolué différemment selon les pays. Certains pays se sont retrouvés dans une situation d'endettement excessif, de chômage très important ou de fort ralentissement économique dû à une trop grande spécialisation. Le policy mix mis en œuvre jusqu'alors s'est trouvé incapable de réagir face aux cas particuliers. Des lignes de divergence au sein de la zone euro ont alors étaient mises en évidence, entre des pays excédentaires, fort exportateurs (Allemagne ou Pays-Bas) et d'autres fortement endettés et peu compétitifs (Grèce, Espagne, Portugal). [...]
[...] L'instrument budgétaire est donc au service de la stabilisation macroéconomique, elle-même normalement gage de croissance et de plein emploi. Parallèlement, en régime démocratique, les détenteurs du pouvoir sont régulièrement amenés à défendre leur bilan et/ou leur projet devant les électeurs. En effet, l'analyse du vote montre que celui-ci est partiellement lié à la perception de la situation économique du pays. Pour se faire réélire, il convient donc de s'assurer d'un taux de chômage faible ou en baisse. La politique budgétaire peut contribuer directement et indirectement à cet objectif. [...]
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