Stagnation séculaire, croissance, niveau économique et social, instabilité politique, vieillissement de la population, Robert Gordon, Alvin Hansen, Larry Summer, OCDE organisation de coopération et de développement économiques, des taux d'intérêt, effet de clearing, révolution numérique, productivité, TIC technologies de l'information et de la communication, gains de performance, Thomas Mortimer, Keynes, Molkyr, économie du numérique
Les gains de productivités, vecteurs de la croissance, s'affaiblissent. Cependant, cette situation va-t-elle durer ? Deux scénarios sont alors envisagés. Soit ce n'est qu'un petit passage à vide et ces gains vont reprendre et élever le niveau économique et social des populations. Mais, si ce n'est pas le cas et que ces faibles gains durent, cela provoquerait de graves instabilités politiques dues à des problèmes majeurs comme le vieillissement de la population, d'où l'apparition du terme « secular stagnation ».
[...] De plus, on ne sait pas quels emplois seront touchés, d'où l'importance. Ensuite, autre anxiété de l'ordre qualitatif, dans ce cas la révolution technologie serait en association avec une polarisation des emplois donc une baisse des emplois intermédiaires et une hausse des emplois aux extrémités. En effet, évolutions perçues en France dues au développement de l'économie du numérique, le fait qu'il y ait une baisse des rémunérations des emplois intermédiaire à l'instar des rémunérations les plus hautes et les plus basses. [...]
[...] Stagnation séculaire ou nouvelle croissance ? Les gains de productivités, vecteur de la croissance, s'affaiblissent. Cependant, cette situation va-t-elle durer? Deux scénarios en conséquence sont alors envisagés. Soit ce n'est qu'un petit passage à vide et ces gains vont reprendre et élèveraient le niveau économique et social des populations. Mais, si ce n'est pas le cas est que ces faibles gains durent, cela provoquerait de graves instabilités politiques du a des problèmes majeurs comme le vieillissement de la population, d'où l'apparition du terme « secular stagnation ». [...]
[...] Cette stagnation séculaire est actuelle dans la zone euro. En effet, depuis la crise, dans cette zone, les pays possèdent deux déséquilibres. D'un côté, les pays avec un fort taux de chômage ainsi qu'un déficit d'épargne. Et de l'autre des pays le plein emploi et un excédent d'épargne. Pour pallier à ces déséquilibres, il faudrait une coordination qui pourrait être faible, les pays en excédent de capitaux pourraient les transférer vers les pays en déficit. Ces derniers pourraient financer une augmentation de la demande et réduiraient le chômage. [...]
[...] C'est la faute de l'économie du numérique avec le fait le phénomène de « winner takes all ». Aussi, la baisse des taux d'intérêt et l'effet de clearing sont des explications d'une baisse, en France, de la productivité. La révolution numérique et la productivité Deux facteurs pourraient dynamiser les gains de productivité dans l'avenir. D'une part, il y a de meilleurs gains de performance des TIC, dont certains voient une un phénomène de grande ampleur arrivé. D'autre part, il y a une utilisation plus large des performances des TIC. [...]
[...] Cette anxiété n'est pas nouvelle. En effet, dès la deuxième révolution industrielle cette crainte a été déjà présente comme l'explique économiste J. Molkyr. Par exemple, Thomas Mortimer et bien d'autres imaginaient une Angleterre mécanisée dont le roi pourrait générer seul toute la production en tournant une manivelle ». D'ailleurs, JM.Keynes expliquait en 1930 que dans cent ans quinze heures de travail hebdomadaires suffiraient à produire les richesses nécessaires. Il avait raison, mais pas pour tout. Dans les pays développés, les gains de productivités ont effectivement servi à réduire le temps de travail. [...]
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