Pour les mercantilistes la société est donc d'abord un système politique où la monnaie est considérée comme la richesse, symbole de pouvoir alors que pour les classiques la monnaie n'est qu'un moyen d'échanges des richesses, une intermédiaire.
- dichotomie : l'approche "réelle". On est face, pour les classiques, à deux secteurs disjoints : d'un côté cette approche "réelle" et par-dessus un voile monétaire => conversion de la valeur de grandeurs réelles en valeur monétaire afin uniquement de faciliter les échanges. Ces instruments monétaires (puis qui vont se développer => moyens financiers) ont été développé pour l'économie réelle (...)
[...] Taux d'intérêt : question du juste prix reprise par Smith selon cette fois une vision vraiment économique : le juste prix c'est en fait le prix d'échange. Pour le taux d'intérêt jusque là la réponse était donnée d'un point de vue non économique mais à partir de la fin du 19ème siècle il fut question de le légitimer. Il est en fait le prix de la renonciation à la consommation et pour que les individus renoncent à cette consommation . il faut les rémunérer et c'est pour cela qu'il faut le légitimer. Ainsi, en poursuivant encore leur intérêt égoïste cela permet la croissance du pays. [...]
[...] ( Première solution on peut se dire : en augmentant la quantité de travail (populationnisme mercantilisme il n'est de richesse que d'hommes Jean Bodin) ( Adam Smith, pour l'Angleterre trouve une autre solution que la population : il faut augmenter sa qualité = productivité. D'où vient cette productivité ? ( De la division du travail : ex d'une fabrique d'épingles où chaque employé détient sa spécialité et s'il veut pouvoir vivre à côté il n'a pas en plus à produire du pain etc , d'autres personnes dont c'est la spécialité s'en charge. Cela permet une augmentation de la productivité. ( . qu'elle soit technique (au sein de l'atelier) ( . [...]
[...] Révolution industrielle et théorie classique, la constitution d'une orthodoxie (1770-1850) Les hommes et leur contexte Le contexte économique : émergence du capitalisme manufacturier, puis industriel - La première révolution industrielle - accélère le passage d'un capitalisme commercial et marchand d'essence et de logique mercantiliste . - à un capitalisme industriel libéré des entraves réglementaires Les grands classiques - Adam Smith (Recherche sur la Nature et les Causes de la Richesse des Nations, 1776) : le père fondateur. - Jean-Baptiste Say (Traité d'Economie politique, 1803) : valeur, utilité et loi des débouchés - David Ricardo (Des principes de l'économie politique, 1817) : le grand inquisiteur ? [...]
[...] Cette loi est nécessairement vérifiée dans une économie de troc où on ne crée pas de débouchés. Pour les classiques une épargne est forcément réinvestie. Cette théorie sera valable jusqu'à ce qu'elle soit à son tour rattrapée par la comptabilité. Résumé de la théorie classique qui reste le fondement de la science économique sur lequel tout le monde s'est positionné. Macroéconomie : - Théorie de la croissance ( Il existe une dynamique endogène de la croissance économique porté par la division du travail et par le progrès technique. [...]
[...] Ainsi de chaque étendu va dépendre : Les classiques se posent la question par rapport au temps : Est-ce que cette dynamique va continuer éternellement ? Cette augmentation de Richesse va-t-elle se poursuivre longtemps ? = a priori non si on se réfère au schéma. peut-être contrariée par la baisse des profits Cette baisse qui provoquera l'éraillement de la machine. La théorie de la rente différentielle On veut comprendre pourquoi les profits ont-ils tendance à baisser = car la masse de salaires augmente donc le profit diminue. [...]
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