Crise Etat francais exposé
Exposé mettant en lumière les premières réponses face a la crise prise par l'État français.
[...] L'objectif est de refinancer les banques a moyen terme. Ce mécanisme est très proche de celui-ci qui sera établi au Royaume-Uni, mais reste néanmoins différent de celui de l'Allemagne qui garanti l'ensemble des prêts interbancaires. Ce programme dispos d'un budget de 320 milliards d'euros dont 55 Milliards seront consacrés pour Dexio (banque spécialisé dans le financement des équipements collectifs et les services au secteur public local. Cependant le président français Nicolas Sarkozy a assisté sur la contre partie des banques [...]
[...] La création du fond publique d'intervention a été salué par le Comité Richelieu, association française des PME innovantes, qui a espéré que celui-ci bénéficiera autant aux PME en croissance qu'aux autres entreprises. En effet, les PME ont longtemps bénéficié de mauvaises conditions d'accès au crédit de la part des fonds publics en France. Ainsi, les économistes Maud Aubier et Frédéric Cherbonnier souligne le fait que les PME les plus performantes arrive a se développer mais que la majorité des autres "stagnent" car elles sont plus vulnérable du fait du manque de rentabilité de départ. [...]
[...] La première mesure importante prise par le président français a été la promesse de création d'un "fonds public d'intervention" doté d'une centaines de milliards d'euros qui pourra "intervenir massivement" en faveur des "entreprises stratégiques" en difficulté. Il sera financé par des emprunts, géré par la Caisse des dépôts et consignations et aura pour but d'aider les entreprises qui auront besoin d'importants capitaux. L'objectif est donc d'aider les petites entreprises en permettant une amélioration des services et augmenter leur compétitivité au niveau international de manière à éviter les délocalisations. [...]
[...] La principale et, sûrement la plus importante, mesure dévoilé vise à étendre le dispositif du CTP (le contrat de transition professionnelle), crée en 2006, il est aujourd'hui testé dans quelques bassins d'emploi sinistrés comme Charleville-Mézières, Saint-Dié ou Toulon il est réservée aux licenciés économiques des entreprises de moins de 1000 salariés, en redressement ou en liquidation judiciaire, ce dispositif permet a ces bénéficiaires de recevoir 80% de leur salaire brut et un accompagnement renforcé avec des rendez-vous au minimum hebdomadaires afin de revenir sur le marché du travail le plus rapidement possible, bien que cette mesure ait un coût élevé et risque d'augmenter encore le déficit budgétaire M. Sarkozy n'entend lésiner pas sur les moyens. Au total 4324 licenciés économiques ont adhéré au CTP soit 78,1% des personnes auxquelles il a été proposé et, il a permis a 60% d'entre eux de retrouvée soit, un CDI sur soit, un CDD de plus de six mois. L'autre mesure dévoilée est la relance des contrats aidés, que la majorité avait critiqué en d'autres temps. [...]
[...] Est-ce un risque ? le plan de soutien au PME Les P.M.E, ce nom recouvre a lui tout seul 60% du produit intérieur brut français créé ses 15 dernières années mais également 1,8 millions d'emplois, dont la moitié par les à plus forte croissance. Elles ne sont donc pas négligeable du point de vue économique et bien que l'adoption de la Loi de modernisation de l'économie se soit traduit par leur remise en valeur, la France n'en compte que 4000 contre 8500 au Royaume-Uni et 11.600 en Allemagne. [...]
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