Cotation, devise, euro, changes, marché des changes, guerre, dollar, transactions, opérateurs
Le marché n'a pas d'existence matérielle, on peut considérer qu'il n'existe qu'un marché de changes mondial (les prix sont les mêmes partout). Sur le marché des changes, il existe une offre et une demande : il y a la cotation au certain et la cotation à l'incertain. Dans la cotation au certain, la côte est exprimée en devise nationale telle que l'euro. La cotation à l'incertain, la cote est exprimée en devise étrangère. Les opérations de changes manuelles sont marginales, surtout les particuliers dans les bureaux de changes.
[...] Les spéculateurs prennent en charge les risques que les autres ne prennent pas. Il y a le marché spot et le marché à terme, mais il existe les marchés gré à gré (les contrats sont sur mesure, ils ont connu une forte croissance, en anglais ils sont appelés "over the counter"). Le marché des options de changes a commencé à se développer à Chicago en 1982, il faut le mettre en relation avec la mise en place de change flottant. [...]
[...] Cela favorise la baisse des cours de change. Au moment de la crise, le dollar s'est vraiment déprécié par rapport à l'euro, car les USA ont réagi avec une célérité impressionnante. Ces politiques peuvent avoir des répercussions sur le cours des monnaies. Il faudrait de ce fait réformer les institutions monétaires internationales afin de mutualiser la gestion des taux de changes. Il y a une forte conscience d'une guerre des monnaies, mais qui revient avec insistance à cause des politiques monétaires. [...]
[...] Quels sont les principaux défis du marché des changes ? L'ampleur des transactions prises sur le marché. Au milieu des années 70, le marché des changes représentait aujourd'hui ce chiffre est plutôt de 15% (Revoir marché dérivé). Pour la première fois, on a une baisse en 2016. Le marché n'a pas d'existence matérielle, on peut considérer qu'il n'existe qu'un marché de changes mondial (les prix sont les mêmes partout). Sur le marché des changes, il existe une offre et une demande : il y a la cotation au certain et la cotation à l'incertain. [...]
[...] Ce phénomène a surtout touché l'Asie, mais également les pays membres de l'OPEP, la Russie, les BRICS. Cela est essentiellement dû aux excédents commerciaux, permettant la création d'actifs par le biais de fonds souverains. Les réserves permettent de se prémunir contre des attaques financières tel que la Russie qui se méfie des attaques contre le rouble, mais cela équivaut aussi pour les pays d'Amérique Latine. La guerre des monnaies On appelle une guerre de monnaie une situation où les acteurs déprécient leur monnaie pour gagner des parts de marchés, avec à la clé une exportation plus compétitive (c'est un jeu à somme négative). [...]
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