Nous vivons désormais dans un monde qui change perpétuellement.
Sans cesse de nouveaux produits apparaissent sur les marchés, changeant notre quotidien, nos rapports aux autres, modifiant nos comportements ainsi que la société.
Ces changements sont dus en partie au progrès technique qui est un concept recouvrant un ensemble flou et hétérogène de savoir faire, d'avances techniques, de modes d'organisation de la production ou du travail.
Celui-ci a inévitablement des conséquences quantitatives mais aussi structurelles donc des aspects négatifs d'une part et des effets positifs d'autre part sur le plan économique et plus particulièrement sur la croissance, mais nous allons nous intéresser dès à présent à ses répercussions sur l'emploi (...)
[...] En terme d'organisation et de durée de travail Le progrès technique est un moyen efficace de diviser le travail et d'accroitre la rentabilité mais aussi de créer des emplois (fordisme). Nous avons remarqué qu'on rendant de plus en plus performantes et en mécanisant les tâches les plus pénibles, le progrès technique a entrainé la baisse de la durée du travail donc une hausse du bien être et un emploi accessible à tous. La réduction du temps de travail constitue un bien-être pour tous. Certes le progrès techniques a des conséquences positives sur l'emploi mais il provoque de même des effets négatifs que nous allons aborder dès à présent. [...]
[...] De plus, on demande de plus en plus de qualifications aux travailleurs, ce qui rend l'accès à l'emploi difficile et inégal. Certes le progrès technique a énormément de défauts vis-à-vis de l'économie, de l'emploi en France mais il peut par ailleurs limiter les dégâts permettant aux entreprises de passer d'un système productif à un autre il leur donne les moyens de s'adapter aux nouvelles exigences et aux nouvelles logiques de production, de rendre plus souple les conditions d'emploi de la main d'œuvre (flexibilité), quitte à créer provisoirement un chômage d'adaptation. [...]
[...] De plus, la modernisation de l'industrie a provoqué un chômage de conversion impressionnant en France. La substitution du capital au travail marque ainsi l'essor du capitalisme. En effet, les crises économiques rend nécessaire l'adaptation des entreprises notamment des firmes aux nouvelles conditions du marché, en substituant du capital au travail, ce qui a pour conséquences indéniables des licenciements massifs et donc une baisse de l'offre d'emplois puisque les individus licenciés sont remplacés uniquement par des machines et non des hommes. [...]
[...] En effet, le progrès technique crée des emplois grâce à l'apparition de nouveaux produits et de machines. D'autre part, l'accroissement des gains de productivité agit à la baisse sur les prix entrainant une hausse de la demande et une relance de l'emploi. Ainsi, apparaît un processus de déversement, effet positif des gains de productivité issus du progrès technique d'une branche d'activité sur d'autres, marqué par la création d'un pouvoir d'achat qui facilité l'achat des biens. En terme de filières Le progrès technique peut créer du travail et des emplois en amont (chercheurs, ingénieurs, techniciens pour la conception) et en aval (ouvriers, employés, cadres pour les constructions et la commercialisation). [...]
[...] En quoi le progrès technique peut-il avoir des effets négatifs mais aussi positifs sur l'emploi ? Nous vivons désormais dans un monde qui change perpétuellement. Sans cesse de nouveaux produits apparaissent sur les marchés, changeant notre quotidien, nos rapports aux autres, modifiant nos comportements ainsi que la société. Ces changements sont dus en partie au progrès technique qui est un concept recouvrant un ensemble flou et hétérogène de savoir faire, d'avances techniques, de modes d'organisation de la production ou du travail. [...]
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