Qu'est ce que le nucléaire ? De quelle manière s'est il développé ? Dans quelle domaine est il utilisé ? Quels en sont les dangers éventuels ? Quel avenir pour le nucléaire ?
La notion de progrès occupe une place essentielle dans notre société. Depuis des millénaires l'homme s'est servi des énergies qu'il trouvait à sa portée afin d'améliorer sa condition de vie.
Au cours du dix-neuvième siècle on a pris conscience de l'existence d'une autre source d'énergie provenant des transformations affectant les noyaux des atomes. Cependant, le développement du nucléaire est le résultat d'une longue évolution prenant naissance dans l'antiquité. En effet, la notion d'atome fut l'une des passions des grands philosophes de la Grèce Antique. La notion d'atome est ainsi définie pour la première fois en 450 avant Jésus Christ sous l'influence de Leucippe puis sera développé par Epicure puis Lucrèce.
Le nucléaire est relatif au noyau de l'atome qui est la plus petite quantité de matière que l'on peut isoler. Ces atomes se combinent pour former des molécules. Ce dernier est composé en nombre égal de neutrons et de protons et est entouré d'un cortège d'électrons. Dans l'univers, il y a deux sortes d'atomes : les atomes qui ne changent pas et ceux qui se modifient d'eux-mêmes, spontanément. L'atome qui ne change pas garde toujours le même nombre de protons, de neutrons et d'électrons. C'est le cas de la grande majorité des atomes. On dit qu'ils sont stables. Les atomes qui se modifient sont les moins nombreux. Ils changent pour devenir stables à leur tour. C'est le cas de l'uranium, un métal dur et gris. Pour se transformer, cet atome va éjecter quelques protons et neutrons de son noyau. Cette transformation dégage une grande quantité d'énergie, de la chaleur. On dit que l'uranium émet des rayonnements. On parle alors d'atomes radioactifs car ils libèrent un rayonnement relâchant de l'énergie. La physique nucléaire recrée artificiellement cette radioactivité.
Cette dernière à toutefois connu un long passage à vide puisqu'on ne la verra réapparaître qu'au dix-neuvième siècle avec les travaux de Dalton et d'Ampère. Par la suite, l'atomisme va s'imposer en chimie. C'est grâce aux découvertes et aux travaux élaborés depuis l'Antiquité jusqu'au dix-neuvième siècle que la révolution nucléaire a vu le jour et qu'elle se développera au vingtième siècle sous l'impulsion de la deuxième guerre mondiale. Cette période historique à fortement encouragé les recherches à des fins militaires dans un objectif défensif et offensifs.
Cependant, le nucléaire n'est pas seulement une préoccupation militaire, il est également présent dans le domaine industriel. En France, l'ordonnance du 18 octobre 1941 crée le Commissariat à l'Energie Atomique (CEA). Sa mission est de poursuivre les recherches scientifiques et techniques en vue de l'utilisation de l'énergie atomique dans les domaines de la science, de l'industrie et de la défense. Dès 1945, on s'interroge sur les moyens de canaliser, a des fins non belliqueuses, cette énergie libérée par la fusion de l'atome aux Etats-Unis et en Europe au sein de laquelle sont mises en place trois organisations internationales : AIEA (1956), EURATOM (1957) et l'Agence Européenne pour l'Energie Nucléaire en 1957. Il faut également noter que la première centrale nucléaire est créée en 1954.
Néanmoins, l'enthousiasme lié au nucléaire va subir un déclin car il coûte très chèr tout comme l'électricité produite. En outre, la découverte d'un important gisement de pétrole au Moyen-Orient va amoindrir l'intérêt porté au nucléaire. Ainsi, on utilise une énergie de moins en moins chère en quantité suffisante. Les chocs pétroliers des années 70 vont relancer l'intérêt porter à cette énergie.
L'industrie nucléaire est très importante en France et cette dernière lui a permis d'acquérir une certaine indépendance énergétique. Dès lors, de nouveaux problèmes vont apparaître ainsi que certaines phobies. En effet, on craint certains accidents comme celui de Tchernobyl survenu en 1986 en Ukraine, il se développe également des courants de critiques quant aux conséquences que pourraient avoir énergie sur l'environnement.
Il est donc nécessaire de voir que l'enthousiasme né du progrès et du développement du nucléaire (I) n'est pas à l'abri de certains dangers menaçants la vie de l'homme et son environnement (II).
[...] Dès lors, de nouveaux problèmes vont apparaître ainsi que certaines phobies. En effet, on craint certains accidents comme celui de Tchernobyl survenu en 1986 en Ukraine, il se développe également des courants de critiques quant aux conséquences que pourraient avoir énergie sur l'environnement. Il est donc nécessaire de voir que l'enthousiasme né du progrès et du développement du nucléaire n'est pas à l'abri de certains dangers menaçants la vie de l'homme et son environnement (II). I L'enthousiasme né du progrès et du développement du nucléaire Le nucléaire, en s'élargissant et en s'impliquant dans divers domaines, a su se forger une image relativement positive et a reçu de fervents échos. [...]
[...] Dès 1945, on s'interroge sur les moyens de canaliser, a des fins non belliqueuses, cette énergie libérée par la fusion de l'atome aux Etats-Unis et en Europe au sein de laquelle sont mises en place trois organisations internationales : AIEA (1956), EURATOM (1957) et l'Agence Européenne pour l'Energie Nucléaire en 1957. Il faut également noter que la première centrale nucléaire est créée en 1954. Néanmoins, l'enthousiasme lié au nucléaire va subir un déclin car il coûte très cher tout comme l'électricité produite. [...]
[...] Quel avenir pour le nucléaire ? L'enthousiasme né du progrès et du développement du nucléaire Les réalisations au niveau social - en médecine - en matière d'environnement - l'émancipation française en matière énergétique L'utilisation intensive du nucléaire en matières militaire et industrielle - la course à l'armement s'inscrivant dans le conflit de la guerre froide. - l'arme nucléaire : dissuasive ou offensive ? - le nucléaire : l'énergie du futur II Le prix à payer : les effets néfastes inhérents au développement du nucléaire Le nucléaire et son cortège de dégâts. [...]
[...] Le terme "radiologie" rappelle les débuts de la discipline, dont les applications médicales faisaient appel aux propriétés des radiations ionisantes et notamment des rayons X. Ainsi, la radiologie avait un versant diagnostique (on parle parfois de radiodiagnostic) et thérapeutique (radiothérapie) par l'utilisation des radiations ionisantes. Cette avancée à aider au traitement de certaines tumeurs. La radiologie désigne surtout, à la fin du XXe siècle, les applications diagnostiques. En fait, à partir des années 1970, elle s'est enrichie de techniques qui n'utilisent plus les rayons telles que l'échographie ou l'IRM (imagerie par résonance magnétique). [...]
[...] Il n'y a pas eut à déploré de nouvel incident du même acabit. D'autre part, il impossible d'écarter la possibilité d'une catastrophe naturelle qui en entraînerai une de type nucléaire. En effet un tremblement de terre de forte magnitude provoquerait incontestablement certains dégâts dont les conséquences ne sont pas totalement, actuellement, connues dont elles ne peuvent être maîtrisées convenablement. En outre, le nucléaire est au centre de nombreuses angoisses en période de conflits. En effet, SAKHAROV avait déclaré après l'invention de la bombe H l'homme vient d'inventer son propre humanicide L'utilisation de l'arme nucléaire sur les villes de Hiroshima et de Nagasaki au japon en août 1945 à montrer au monde entier qu'elle était la force de frappe qui résidait en la possession de cette arme. [...]
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