Politique commerciale autonome, pays, mondialisation, politique commerciale libre-échangiste, préférence nationale
La politique commerciale désigne l'ensemble des décisions prises ou des pratiques relatives à la commercialisation des produits ou services de l'État. Pour guider sa politique commerciale, l'État dispose de nombreux outils : tarifs douaniers, quotas, normes, législation du travail et environnementale, taxes, taux de changes, taux d'intérêt. En quelque sorte ligne conductrice que défend un État :
Ex : la Suisse cherche à attirer des capitaux en adoptant une fiscalité avantageuse alors que la France a fait le choix d'une protection sociale assez protectrice et la fiscalité n'est donc pas très avantageuse pour les entreprises souhaitant s'implanter en France.
[...] Tout les secteurs n'ont pas le même potentiel de gain de productivité. L'évolution de la demande mondiale n'est pas la même pour tout les secteurs. Les difficultés qui se présentent aujourd'hui à cette solution et le poids des FMN qui dépasse la politique commerciale des Etats ( Absence de règles Une FMN effectue dans des pays différents des fractions du processus productif pour optimiser processus productif. Une filière de production appartenant à la même entreprise est répartie sur plusieurs territoires. [...]
[...] Il élargit cela pour la DIT. Cela suppose qu'on pays soit meilleur qu'un autre dans un domaine mais moins bon dans un autre. Les pays doivent se spécialiser dans un domaine afin d'en tirer deux avantages : - Les gains de productivité moyens (car on renonce à quelque chose que l'on fait moins bien) augmentent donc les facteurs travail et capital disponibles en plus peuvent être affectés à la réduction du temps de travail ou à une production supplémentaire. - En se spécialisant grâce au learning by doing on devient plus efficace et on accède à des économies d'échelles (plus grand savoir, meilleure organisation). [...]
[...] Cela crée une concurrence déloyale, un dumping social ou environnemental. Par exemple en Chine, les externalités négatives ne présentent pas un coût. Le risque est de retrouver ce que l'on retrouve dans la loi GRESHAM : la mauvaise monnaie chasse la bonne. Transposé dans le domaine que l'on étudie : la mauvaise législation chasse la bonne c'est-à-dire qu'il y a risque à ce que les pays s'alignent sur la mauvaise législation. Il y a donc un large débat autour de cette question mais tout le monde ne tombe pas d'accord. [...]
[...] Souveraineté, politique commerciale autonome = décider lui-même sans influence sa politique commerciale. [...]
[...] Un pays peut-il avoir une politique commerciale autonome ? La politique commerciale désigne l'ensemble des décisions prises ou des pratiques relatives à la commercialisation des produits ou services de l'État. Pour guider sa politique commerciale, l'État dispose de nombreux outils : tarifs douaniers, quotas, normes, législation du travail et environnementale, taxes, taux de changes, taux d'intérêt. En quelque sorte ( ligne conductrice que défend un État : ( Ex : la Suisse cherche à attirer des capitaux en adoptant une fiscalité avantageuse alors que la France a fait le choix d'une protection sociale assez protectrice et la fiscalité n'est donc pas très avantageuse pour les entreprises souhaitant s'implanter en France. [...]
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