La Commission européenne demande à la France de ramener dès 2013 son déficit budgétaire sous la limite de 3 % du produit intérieur brut (PIB). Paris veut obtenir un renvoi en 2014 pour ne pas compromettre la sortie de crise. Bruxelles demande également plus d'efforts à d'autres pays dont les finances publiques sont préoccupantes. En effet, avec la crise qui a frappé l'Europe, les déficits publics et la dette des États s'envolent. L'Autriche illustre bien ce constat, car ce pays est endetté à plus de 100 % de son PIB.
Les emprunts de masse permettent aux gouvernements de lutter contre les conséquences directes de la crise. C'est ainsi que de nombreux plans de relance cherchent à soutenir le marché du travail, la consommation des ménages, l'investissement des entreprises et de nombreux autres secteurs de l'économie. Comprendre les cibles de ces politiques budgétaires nécessite de savoir quelles sont les explications de la crise contemporaine.
[...] En effet, les banques sont incapables de connaître la quantité de créances douteuses détenues dans leurs propres établissements, car elles sont fragmentées dans un ensemble de titres. Les banques perdent donc petits à petit la confiance de leurs clients, mais aussi la confiance qu'elles ont pu avoir entre elles. Les banques sont de plus en plus réticentes à prêter aux particuliers tout comme aux entreprises. Pour conclure, on peut affirmer que cette crise n'était à la base pas financière, seulement elle s'est manifestée de cette manière. [...]
[...] Le terrorisme s'étend finalement sur tout le territoire. Les États-Unis décident alors de mettre les bouchées doubles et ils envoient davantage de soldats. Ils augmentent ainsi le budget militaire en creusant le déficit budgétaire du pays. Au total, on estime que les dépenses militaires ont atteint 1.035 milliards de dollars (841 milliards d'euros) en 2004, soit une hausse de par rapport à 2003 (956 milliards de dollars). Cela représente 162 dollars par habitant de la planète. Washington a dépensé de ce montant. [...]
[...] Ce nombre s'est accru avec une baisse des taux d'intérêt en 2001. Les gens se sont précipitent pour acheter. Mais les prix des biens immobiliers ont augmenté. En 2006 les taux augmentent, donc les mensualités des prêts à taux variables augmentent. Les agents sont forcés de vendre leurs biens immobiliers en masse, car ils ne peuvent plus rembourser leurs emprunts. L'offre devient supérieure à la demande et les prix de ces biens s'écroulent. On voit apparaitre l'endettement des privés. B. [...]
[...] Cela a entrainé d'abord des pertes d'emplois dans les secteurs du tourisme aux États-Unis. D'autres secteurs ont été touchés : les compagnies aériennes, les assurances et les industries financières. Dans les heures qui ont suivi les attentats, les compagnies aériennes ont annoncé des milliers, voire des dizaines de milliers de licenciements ou de mise en chômage technique, les constructeurs automobiles ont fait de même. Si bien qu'il y aurait eu aux États-Unis plus de destructions d'emplois en moins de 10 jours. [...]
[...] Cette croissance va alors induire un brutal accroissement du déficit commercial américain après 1998. La situation économique serait bouleversée et entrainera la fameuse crise des subprimes à cause des facteurs géopolitiques tels la crise irakienne et les attentats du 11 septembre 2001. C. Les facteurs géopolitiques de la crise Le World Trade Center comme son nom l'indique représentait le centre du monde et était surtout le symbole de l'hyper puissance américaine. Le jour où les Twin Towers ont été détruites, c'est le jour où le monde a commencé à décliner. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture