Dans l'article « Gaz, électricité : un marché de dupes » paru dans la revue mensuelle Alternatives Economiques du mois de juillet et août, Marc Chevalier journaliste économique, nous expose les conséquences de la loi sur la libéralisation du marché de l'électricité et du gaz qui a mis fin au monopole d'EDF - GDF pour les entreprises et les particuliers depuis respectivement 2004 et le 1er juillet 2007.
En effet, la loi a dans un premier temps touché les sites, c'est-à-dire les entreprises telles que les commerçants, les artisans, les petites et moyennes entreprises et ainsi de suite. Cette dernière aurait dû normalement créer une multiplicité des contrats d'électricité et de gaz chez des fournisseurs autres qu'EDF - GDF puisque la loi sur la libéralisation du marché de l'électricité et du gaz permet de choisir librement son fournisseur (...)
[...] En ce qui concerne les fournisseurs et pour lutter contre la concurrence des tarifs régulés, ces derniers vont proposer divers types d'électricité tels que l'électricité issue des énergies renouvelables afin d'attirer les clients. Ainsi, la libéralisation du marché de l'électricité et du gaz comporte beaucoup de menaces pour les entreprises et les particuliers qu'il est indispensable de prendre en considération. On peut se poser la question suivante : La loi sur la libéralisation du marché de l'électricité et du gaz a été initialement mise en place dans le but d'être favorable à la fois au producteur et aux consommateurs ou bien essentiellement à l'Europe ? [...]
[...] Gaz, électricité : un marché de dupes ? Dans l'article Gaz, électricité : un marché de dupes paru dans la revue mensuelle Alternatives Economiques du mois de juillet et août, Marc Chevalier journaliste économique, nous expose les conséquences de la loi sur la libéralisation du marché de l'électricité et du gaz qui a mis fin au monopole d'EDF GDF pour les entreprises et les particuliers depuis respectivement 2004 et le 1er juillet 2007. En effet, la loi a dans un premier temps touché les sites, c'est-à-dire les entreprises telles que les commerçants, les artisans, les petites et moyennes entreprises et ainsi de suite. [...]
[...] Ce sont les associations de consommateurs, les élus nationaux et ainsi de suite . d'un autre côté, ceux qui soutiennent que ce dernier rend impossible toute concurrence, c'est-à-dire la Commission européenne en s'appuyant sur le fait que l'énergie demande des investissements tellement importants pour mettre au point des nouvelles de capacités de production qu'il est indispensable de mettre fin aux tarifs régulés qui ne permettent pas la mise au point de ces dernières. - Il faut également prendre en compte le fait que la composition du parc de production électrique appelé le mix énergétique risque d'évoluer vers des énergies excessifs et se répercutera par conséquent sur les tarifs. [...]
[...] - De plus, avec cette augmentation importante et considérable des tarifs, certains fournisseurs ne vont pas hésiter à opter pour des pratiques commerciales douteuses sur le contrat afin de se démarquer de l'offre concurrente en terme de tarifs. - De même, la libéralisation du marché de l'électricité et du gaz contient également des faiblesses sur le plan immobilier. En effet, seuls les locataires issus d'un logement neuf et ceux qui auront conservé leur contrat avec EDF GDF pourront disposer des tarifs régulés pour l'électricité mais pas pour le gaz et ce jusqu'en 2010. [...]
[...] Néanmoins, ce processus exercé au sein de l'hexagone n'est pas reconnu par la Commission européenne qui la caractérise en infraction avec la directive de 2003 instaurant la concurrence. De ce fait, on peut s'attendre à un mécontentement à l'échelle de l'hexagone entre deux clans : . d'un côté, ceux qui soutiennent que les tarifs régulés est le choix légitime des français et permet de maintenir le prix de l'électricité au niveau du nucléaire et évite l'enrichissement d'EDF sur le dos des particuliers avec ses profits. [...]
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