L'Etat français a pour rôle de réguler, stabiliser l'activité économique. Celle-ci s'accélère parfois (croissance) ou se ralentit à d'autres moments (essoufflement, déclin, recul). L'Etat va chercher à intervenir pour lisser cette activité dans le temps. Quand on est en période de récession, l'Etat va essayer d'intervenir en mettant en place des politiques pour lutter contre le chômage. Quand on est en période de croissance, l'Etat va essayer de mettre en place des politiques pour lutter contre l'inflation [...]
[...] ch avec courbe de Philips) sur le long terme, les individus sur le long terme, réclameront des augmentations salaires inflation finalement - l'absence d'illusion fiscale : il y aura encore plus d'impôts demain car dette publique augmente fuite des capitaux car français pas fous. - le trop d'Etat et le renouvellement des théories de l'offre. Pour les nouveaux classiques et monétaristes, il faut libérer, introduire concurrence sur marché pour avoir prix plus bas et offre plus variée, on suppose que la demande suivra. On donne la primauté à l'offre. [...]
[...] Ms pour y arriver, les infrastructures à mettre en place st très lourd. Pour Pigou, aucune entreprise privée ne peut assurer ses investissements. L'Etat doit intervenir et mettre en place des grands réseaux de services publics Théorie keynésienne : la légitimité économique de l'Etat providence Quand on est keynésien, on considère que c'est à l'Etat de mettre en place des politiques économiques Mise en place des politiques économiques visant la hausse (en période de récession) / la diminution (en période de surchauffe) de la demande effectives : dépenses publiques, politique monétaire Pour cela, l'Etat a sa disposition deux politiques : politique conjoncturelle, budgétaire et monétaire. [...]
[...] L'Etat évince ainsi des sociétés dans la mesure où certaines entreprises ne peuvent pas suivre. Solution 3 : Augmentation des impôts. Risque : effets pervers : décourager entreprises à produire et individus à travailler. Politique contreproductive pour les néoclassiques. Risque d'accroissement de la dette publique. Tous les ans, rembourser déficit public tant qu'on n'aura pas remboursé. Les déficits publics d'aujourd'hui vont faire la dette publique de demain. D'où plus d'impôts pour demain - par rapport aux rigidités du système de production : pour les keynésiens : pas de rigidités. [...]
[...] l'importance du cycle politico-économique. L'horizon temporel des hommes politiques est complètement différent de celui de tout un chacun. Il est rythmé par les élections. Un an et un an et demi avant les élections, trucs bien (prime de noël, politique de relance), une fois élu, récession et politique de rigueur. Problème : perturbe l'économie. Il existe donc un cycle politico- économique qui mène à des politiques incohérentes. Selon l'école du Public Choice, cela mène à un dérèglement, à l'explosion de la dette publique. [...]
[...] ( DEFICIT PUBLIC = 64,5 milliards La France affiche un déficit public de 64,5 milliards ce qui représente plus de du PIB, règle convenue dans le pacte de stabilité. ( DETTE PUBLIQUE = 992 milliards (au-delà aussi du seuil autorisé par le pacte de stabilité) L'Etat régulateur l'Etat français a pour rôle de réguler, stabiliser l'activité économique. Celle-ci s'accélère parfois (croissance) ou se ralentit à d'autres moments (essoufflement, déclin, recul). L'Etat va chercher à intervenir pour lisser cette activité dans le temps. [...]
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